Chapitre 2 : Syrie

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Konstantin : Le tombeau du Prophète...Après tout ce temps.

Trinitaire : Et l'artefact ?

Konstantin : À l'intérieur si Dieu le veut.

Au moment de poser sa main accidentée par les mêmes stigmates que Jésus, il s'arrêta net.

Konstantin : Ouvrez-le. Doucement. Ça pourrait être extrêmement dangereux. 

Évidemment je m'étais cachée à l'intérieur, savant qu'il n'y avait rien, j'avais la place suffisante pour m'y glisser. J'attrapai aussitôt le revolver attaché à ma ceinture militaire. Je sortis immédiatement quand j'entendis les deux hommes pousser sur l'ouverture.

Moi : Qui êtes vous, ne bougez pas !

Konstantin  : Vous êtes une femme intelligente, je pense que vous connaissez déjà la réponse.

Il s'avançât vers moi d'un pas décidé, j'avais toujours mon revolver pointé sur lui.

Moi : Les Trinitaires.

Konstantin : Allez, donnez moi l'artefact !

Moi : Je ne sais pas de quel artefact vous parlez.

Konstantin : Ne me prenez pas pour un, idiot. C'est vous qui nous avez conduits ici.

Moi : Écoutez, le sarcophage était vide à mon arrivée. Il n'y avait pas de corps et absolument aucun artefact.

Il recula immédiatement et semblait détruit de l'intérieur. En vérité il s'appelait Konstantin, j'avais entendu son nom à plusieurs reprises, dans des enregistrements de mon père. Il sortit un couteau de combat de sa poche arrière, mais je lui avais volé son détonateur de bombe, une fois le bouton touché, toutes les bombes activées seraient donc déclenchées.

Konstantin : À TERRE ! 

Je me couchai immédiatement contre la tombe du Prophète pour avoir un angle de protection et appuyai fermement sur le bouton. Aussitôt une grande partie de la plus imposante coupole s'effondra, laissant une tombée de roches s'écrasait contre le sol. Heureusement la coupole inférieure dorée amortit le choc jusqu'à ce que elle aussi, s'effondre. Il restait quelques trinitaires que je tuai de façon spontané, sans difficulté, avec mon revolver, un silencieux. Ils n'étaient vraiment pas aguerris et semblaient sonnés avec le choc de l'éboulement. Je couru le plus vite possible avant que toute la structure ne s'effondre jusqu'à me tuer. Sur le passage tous les obstacles étaient présents pour m'emprisonner à tout jamais dans un tombeau qui n'était même pas le miens. Heureusement je réussie à trouver une ouverture, par le côté sud, me permettant de ressortir vers la vallée opposée au désert et au canyon. Une explosion impressionnante retentit jusqu'à mes oreilles. Mes bras, mes jambes, avaient mal, du sang sur mon visage coulait et ne s'arrêtait pas. Je m'effondra sur le sol avant d'apercevoir un étrange symbole. Une croix, qui ne ressemblait à aucune autre croix. Elle était inscrite sur le sol. Elle avait quatre branches et des détails très minutieux.

Rise of the Tomb Raider, le récitOù les histoires vivent. Découvrez maintenant