Epilogie

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Moral de cette histoire, même si ce rêve étais de la merde, il est devenu réalité.

Entre monde sans alter et avec, je suis avec lui. Il est devenu un Bakugo, laissant le Todoroki derrière lui, avec son passé. Son père, étant homophobe, s’est opposé à notre relation. Déjà, comment il a réussi à trouver Shoto?

Il faut dire que le temps et et le destin fait bien les choses. On a parcourus notre chemins entre rêves et réalité, tout ce réalisant. Une maison tranquille, dans un coin reculer de la ville, un travaille qui nous plaît ainsi que des enfants courant (même si j’ai horreur de ça) à travers les couloirs.

Alors que je regarde mon mari dormir contre moi, deux têtes endormis entrent dans la chambre. Elles montent dans le lit, baillant à s’en décrocher la machoir.

- Anya et Eli, retournez dans vos chambres, ordonnais-je à voix basse.
- Papou, on peux rester? C’est dimanche aujourd'hui, répond Eli.

Je soupire en tournant mon regard vers Anya. Elle s’est endormie rapidement, calé entre ses deux pères. Je soupir, plus qu’amusé. J’ouvre de ce que je peux, mon bras validé pour qu’Eli se blottisse contre moi. Il sourit en fermant les yeux.

- Une réveille mignon, chuchote Shoto.

Je lui sourit en le regardant se décaler. Anya glisse, atterrissant sur le matelas. Eli qui regardait ce qu’il se passe, se déplace pour se retrouver contre sa sœur et moi. Je me tourne sur mon côté, passant un bras autour de leur petit corps et Shoto fait de même. Un doux câlin du réveillé pour se rendormir.

- Même si je le dis pas souvent, je vous aimes mes papas, murmure Eli.

Je le regarde attendrit. Je crois bien qu’il est retourner dans les bras de Morphé. Je lève mon regard vers mon mari et lui sourit.

- Et dire que que tout ça est dû au destin d’un rêve, me dit-t-il.
- Une réalité bien mieux que dans les rêves vu que je t’ai près de moi, lui répondais-je.
- J’avoue. Je te propose un truc.
- Cause toujours.
- On se rendort dans ce cocon chaleureux, avec les enfants dans nos bras.
- Il est 9 heures.
- On a encore de la marge.
- J’approuve ce que tu me proposes.

Il me sourit avant de fermer les yeux. Je fait de même.

Et dire que tout ça est au départ, un rêve flou. Je suis bien maintenant. Certes, ma maladie concernant ma bipolarité est presente avec la dépression. Mais j’ai mes amis, Inko, ma famille, mon mari et même mes gamins me soutiennent. Bordel que ne les aimes.

Le destin d'un rêveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant