ennemis sur le dancefloor ! ~bakudeku~

chapitre 2 le passé

Pdv de izuku :

Là on est le weekend et je suis en train de travailler sur ma choré. Et je suis ultra inspiré !

...

C'est faux je sèche totalement ! J'ai aucune idée de musique, de style de danse etc...

Toc toc

I : oui !

In : t'es prêt ?

I : près pourquoi ?

Je mis mon cerveau en marche avant d'avoir une illumination.

Manquer plus que ça ! J'avais totalement oublié qu'on mangeait chez Les bakugo aujourd'hui ! Cette journée est merdique !

I : non mais tu sais chui malade regarde je tousse !

Je fis semblant de tousser pour prouver mes faits. Mais ma mère me lança un regard du style "jeu d'acteur en cornichon". Comprenant que je n'avais pas le choix je pris des affaires dans mon armoire et partie m'habiller.

Un pantalon troué et un t-shirt blanc uni avec mes célèbres chaussures rouge.

I : bon allez c'est juste quelques heures !

Dis-je pour m'encourager moi même.

On arriva devant la maison des bakugo et ma mère toqua surexcitée de revoir son amie de longue date.
La porte s'ouvrit sur une grande femme blonde avec des yeux rouges. Le portrait craché de son fils.

In : mitsuki !

Ma mère venait de sauter dans les bras de l'intéressée.

M : inko ! Ça fait trop longtemps que je t'ai pas vue !

In : mais oui ! Alors qu'on est voisines !

Elle fit un sourire à ma mère et se tourna vers moi.

M : mais ça ne serait pas le petit izuku !

Je tiquai au "petit" mais ne dit rien.

I : lui même ! Bonjour mitsuki !

M : Rho ! Tu es tellement poli comparé à mon imbécile de fils !
D'ailleurs monte dans sa chambre le voir !

Oh non pitié !

I : mais je peux pas rester avec vous ?

In : non mon chéri on va parler entre adultes va avec katsuki.

I : mais j' ai 19 ans !

In : bah laisse nous entre amies alors.

Je soufflais et pris les escaliers direction la chambre de kacchan.

I : salut le crasseux !

J'entrais dans la chambre en balançant mon sac dans un coin.

K : non mais ça va je te gêne pas ? Fouilles dans mes placards tant que t'y es ! Et m'appelle pas comme ça deku !

I : ok ok kacchan !

Il était allongé sur son lit téléphone à la main tendis que moi je m'affalais sur le fauteuil.
J'ai envie de le faire chier.

I : ça se voit je t'ai manqué.

K : alors là pas du tout ! Si je pouvais ne plus jamais voir ta gueule de brocoli ça serait volontiers.

I : sinon t'a avancé sur ta choré pour lundi ?

K : ça te regarde pas !

I : t'es chiant !