Chapitre 14

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PDV Fatima

- Pourquoi parlez-vous de Bachir ? demanda Zakari.

- Heuh...hum tu viens on va parler dans le salon laissons Inaya elle doit être épuisée.

- Mais...

Je le pousse jusqu'à la porte et ferme derrière moi.
On part s'asseoir au salon et il me regarde étrangement semblant attendre une explication.

- Tu n'as pas à t'en faire , Inaya me parlait un peu de toi , ton attitude avec tes amis et aussi votre soi disant serment.

- Ah c'est ça.

- En parlant de serment tu ne trouves mas que vous exagérez. Quelle histoire de tu ne sors pas avec la soeur de ton ami je trouve ça absurde Zakari. Dis-je en croisant mes bras.

- Pourquoi habibi ??

- Mais imaginons que l'un de tes amis tombe amoureux d'Inaya et que ça soit réciproque et qu'il s'aime vraiment très fort tu vas les empêcher de vivre leur amour à cause d'un serment.

- Ah là c'est chaud , s'il me convainc on est quitte mais Inaya n'est pas avec un de mes potes donc c'est bon. Dit-il en voulant enlever mon foulard.

- Arrête.

- Mais pourquoi tu ne veux pas que je vois tes cheveux ?

- Je sais pas.

- Tu es chauve ? C'est pas grave je t'aime tel que tu es.

J'ai pas pu m'empêcher de rigoler.

- Je ne suis pas chauve Zakari t'es fou.

- Ah mais c'est à ne pas comprendre ce ne sont que des cheveux epuis nous sommes fiancés.

Conscience : Moi même je comprends pas.

Je souffle et détache mon foulard.
Mes cheveux étaient attachés.
Je les détaches et ils tombent sur mes épaules.

- Mashallah t'es tellement belle princesse.

Il me prit dans ses bras et commença à me faire des bisous dans le cou.

Hee frisson

Conscience : Frisson mon meilleur ami.

Il commençait à sucer et mordiller ma chair.
Mon ventre était en feu. C'était tellement agréable.

- Za...Zakari qu'est-ce que tu me fais ? Soufflais-je.

- Juste pour montrer à ces jeunes chômeurs du quartier que tu m'appartiens. Dit-il avant de continuer ce qu'il faisait.

On était vraiment collé et je me retrouvais à califourchon sur lui.
Je sentis tout à coup quelques choses de dure entre mes fesses.

Je me levais directement de lui et arranger mon pagne qui c'était dénouer.

- Zakari c'était quoi , j'ai sentis quelque chose sur...sur mes...fesses.

Il était là me regardant un grand sourire aux lèvres.
Il avait placé un coussin sur ses jambes.

- Tu ne me laisse pas indifférent Fatima. J'ai hâte d'être à notre nuit de noce.

Conscience : L'homme là va te faire du sale cousine.

J'étais gêné, je ne pouvais même pas le regarder.

- Je...je...

- Soit pas gêné mon coeur , tu es ma fiancée, c'est tout à fait normal. Viens t'asseoir.

Je repartis m'asseoir à ses côtés mais gardais une distance de sécurité.
J'avais la tête baissée je crois même que j'étais toute rouge.
Il s'approcha et pris mon visage entre mes mains.

Mon mécanicien et moi ( EN PAUSE )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant