Ce que je suis grâce à toi (Jean x reader)

XXVIII. Sauvons Jean I

Je descends du cheval de Jean pour en faire de même et m'enfonce dans un petit coin, poussé par la curiosité.

- T/p : Caporal !! Venez voir !

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{Pdv de Jean}

Nous nous déplaçons toujours à travers la forêt et je commence à en avoir assez. Je ne sais pas vraiment ce qu'ils ont décidé de faire de moi, à part me livrer à leur chef. Et c'est qui leur chef ? Et pourquoi ils ont dit qu'il aimait les « petits culs » comme le mien ?

J'ai confiance en mes amis, je sais qu'ils viendront me chercher, mais la question est de savoir, SI ils arriveront à temps ? Car en réalité, je ne sais pas combien de temps il me reste avant d'arriver à leur destination, mais je crois que nous allons bientôt atteindre la fin de la forêt... Et merde !

{Pdv de T/p}

Je me suis accroupie pour me rapprocher de ce pourquoi j'ai appelé le Caporal. Celui ci s'approche et se poste a côté de moi. Les autres ayant entendu ma voix se sont aussi rapprochés.

Sasha vient de nous rejoindre.

- Livai : Tu as trouvé quelque chose ?
- Conny : Mais... c'est le téléphone de Jean !

Je ne dis rien et ne bouge plus sur le coup, car même si on a un enfin trouvé quelque chose, ce qui se trouve à cote du téléphone ne me plaît pas du tout.

- Conny : Il a du se battre. Regardez moi ce sang...
- Sasha : Vous pensez que Je...

Je me lève d'un coup et me mets à crier le nom de Jean dans la forêt. Je deviens folle ? Est ce que c'est risqué de crier de cette manière lorsque l'on cherche quelqu'un qui s'est probablement fait enlevé ? Je ne sais, mais pour le moment mon cerveau vrille seulement sur ce qu'il vient d'analyser : si il y a du sang au sol, c'est qu'il y a un possibilité que Jean soit blessé.

- T/p : JEEAAAN ! JEA...

Plus de son de sort de ma bouche. Et pour cause, le Caporal vient de me faire taire en mettant sa main devant.

- Livai : Hey. Calmes toi. Sa voix est calme mais sec, et à son regard je comprends de suite que j'ai fais une bêtise. Mon regard s'attriste. Là ! Écoutes moi... on a un indice, on va le retrouver, mais ne cries plus jamais de cette façon. Tu vas nous faire repérer. Il retire sa main de mon visage. On ne sait pas à qui on a à faire, ni au genre d'armes qu'ils ont et si ils peuvent nous tirer dessus. Si c'est le cas, grâce à toi ils savent où nous sommes et ils pourront nous prendre en traître.
- T/p : Je... Je baisse la tête. Pardonnez moi Caporal.

Je me sens stupide d'avoir fait ça. C'est vrai que je suis inquiète mais il faut que je retrouve mon calme.

- Hanji : Nous allons le retrouver. Ça serait bête que vous soyez séparés à peine votre histoire commencé.

Celle ci se met à sourire. Je suis tellement inquiète que je ne rougis même pas. Mais c'est vrai. Jean ne m'a pas demandé de devenir sa petite amie pour que je le vois disparaître quelques jours après. Hors de question. Je me reprends en main, relève la tête et m'incline une nouvelle fois en demandant pardon à mon supérieur du moment et à mes coéquipiers.