VIII. La clairière au piano. P2

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- T/p : Au revoir Jean. On se verra à La Taverne.

Je m'éloigne du lieu sans savoir qu'à partir de maintenant les choses vont changer... sans savoir ce qu'il m'attend...

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{Pdv de Jean}

Je la vois en face de moi vêtu de sa jolie robe couleur pastel. Elle me regarde en affichant un beau sourire, je plonge mes yeux dans les siens mais dérive sur ses lèvres alors qu'elle se rapproche de moi. Nous ne sommes à présent qu'à quelques centimètres l'un de l'autre et je n'arrive pas à lever les yeux. Cette partie de son visage m'obsède, tellement, que je ne peux m'empêcher de porter ma main à ses magnifiques lèvres. Je les caresse de mes doigts Elles sont chaudes. Je veux y goûter, je veux les...

- Jean : ...embrasser
- T/p : Embrasses moi.
- Jean : Hein ?

J'ai dis ça tout haut ?! Merde ! Mais il semble qu'elle a dit que je pouvais le faire non ? Nous avons parler en même temps donc je ne suis pas sûr de ce que j'ai entendu mais j'espère que c'est vraiment ça.

- T/p : Embrasses moi Jean.

Mes joues virent à un rouge léger. Elle ferme les yeux et se met sur la pointe des pieds en levant la tête pour me montrer une belle vue sur son visage adorable, mais surtout sur ses lèvres. Je les caresse de nouveau, elle les entre ouvre légèrement grâce à mon pouce, avec lequel j'ai exercé une petite pression sur sa lèvre inférieure. Je glisse ma main sur sa joue, puis pose mon autre main sur la deuxième afin de l'attirer vers moi délicatement.

Ça y est, je vais l'embrasser, je vais enfin embrasser T/p. Mais alors que je m'apprête à sentir sa bouche contre la mienne, je vois mon cheval courir vers nous. Je pousse T/p dans un mouvement de panique avant d'être bousculé par Tonnerre m'envoyant au sol, et contre toute attente celui ci se met à bouger. Non ! Des sables mouvants. Je ne peux plus bouger. Non pas maintenant alors que j'allais enfin avoir ce que je veux ! Je m'enfonce de plus en plus dans le sable, je cris de panique puis ouvre soudainement les yeux. Je suis dans ma chambre, couvert de sueur et le redresse brutalement.

- Jean : Ce n'était qu'un rêve... Je reprends mes esprits calmement. Meeerde ! Bordel elle était là devant moi !!

Je m'écroule dans mon lit. Je suis de nouveau allongé, regardant le plafond blanc. Les rayons du soleil pénètrent dans la pièce y apportant une douce chaleur naturelle.

- Jean : T/p...

Je pose mon bras sur mon visage au niveau de mes yeux. Je pense à T/p, à elle et à son sourire, sa voix, son corps... ses lèvres... Je crois que cette fille m'intrigue, je crois que... je crois que je commence à... tomber amoureux d'elle...

***

Les journées de travail passent et se ressemblent, sauf que depuis quelque temps je n'accompagne plus l'escouade à La Taverne. En faite je me suis trouvé une nouvelle activité.

{Pdv de T/p}

Mes journées se ressemblent et Sven fait toujours pression sur moi pour que je vole le restaurant de Madame Anna, mais là il commence vraiment à perdre patience. La dernière fois j'avais réussi à trouver une excuse plausible mais ça commence à faire long pour lui. Je reçois de plus en plus de coup, d'insultes et ça depuis presque 2 semaines. Je tiens le coup mais Anna se fait longue. Elle se fait désirer. Mais c'est normal. Elle nous a appelé la semaine dernière pour nous dire qu'elle restait encore un peu avec sa famille.

Ce que je suis grâce à toi (Jean x reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant