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𝐋'𝐄́𝐋𝐄́𝐆𝐀𝐍𝐂𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐄𝐔𝐑𝐒 𝐄́𝐌𝐎𝐈𝐒 –

            𝐋𝐄 visage écrasé contre l'oreiller, ainsi que tout son corps qui l'était contre le matelas

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            𝐋𝐄 visage écrasé contre l'oreiller, ainsi que tout son corps qui l'était contre le matelas.

À attendre, encore et encore. À attendre que les jours passent, pour savoir quand est-ce qu'elle craquerait définitivement. À l'attendre. Qu'il vienne.

Encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore.

Elle était dépendante. Elle le savait, évidement.

Et ça la consumait.

Mais il était son seul repaire dans ce monde pourri.

Si elle était un marin en mer en pleine tempête, alors il était son phare, perçant l'obscurité pour l'éclairer.

Elle s'adaptait donc.

Et la nuit se levait encore.

𝐋'𝐄́𝐋𝐄́𝐆𝐀𝐍𝐂𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐄𝐔𝐑𝐒 𝐄́𝐌𝐎𝐈𝐒 - angstOù les histoires vivent. Découvrez maintenant