Chapitre 17

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12h45:

Tout le monde est regroupés dans les vestiaires, le stress commence a monté chez chacun de nous, en face de moi je n'ai plus une équipe de france enjouée et drole, j'ai une équipe concentrée.

Je m'éclipse juste avant que les joueurs partent pour La Marseillaise , j'enfile rapidement le maillot de Pavard et je file rejoindre mon père au bord de la pelouse, l'hymne australien retentit, ils chantent tous main sur le coeur

Quand retentit enfin la marseillaise mon père se lève, et ce moment magique commence, je vois tout les joueurs main sur le coeur, ce moment me donne des frissons. L'hymne se termine.
Les joueurs s'avancent vers nous et enlèvent leurs veste, mon père les motivent une dernière fois , les garçons m'embrassent et je leurs souhaite une bonne chance. Mais Pavard ne sais pas approcher de moi, je vois qu'il appréhende, je m'approche de lui.  Je le serre dans mes bras.

- Tu vas tout déchirer mon mouton.

Il me regarde et sourit.

- Ta mis mon maillot.

- Évidement!

Il me sourit et part ce placer sur le terrain.
Tout le monde est en place. Le stade est en feu.
Et enfin le coup de sifflet retentit, le premier ballon, et quelques passes enchaînés du côté des Australiens.

30 minutes plus tard:

Nous rentrons dans le dernier quart d'heures de la première mi-temps, toujours 0-0.
Les bleus essayent mais n'arrive pas concrétiser leurs attaques.
Plus les minutes passent plus mon père, commence à être tendu.

- T'inquiète pas papa ils vont y arriver.

Du moins j'espère.

Mon père ne me répond pas.

15 minutes plus tard:

Le coup de sifflet retentit et les équipes rentrent dans leurs vestiaires respectifs.
Je rentrent aussi et je m'assoie à côté de Paul et Ben.

- Bon les gars ils faut que vous poussiez plus, il faut aller au bout des choses, concrétiser nos actions! Vous pouvez le faire!

Mon père continu son spitch et laisse qu'elle que minutes aux joueurs de pose.
Je décide de prendre la parole.

- Les gars, moi j'ai pas fait de l'avion en me levant à 2h du mat tout ça pour repartir! Moi je crois en vous les gars! Maintenant vous allez le mettre ce ballon au fond des filets.

Les garçons rigolent et je continue à les encourager. Il est temps de retourner sur le terrain.
L'arbitre siffle.

On est en face d'une équipe de France plus concentré et plus motivée.
Lucas Hernandez fait un centre qui arrive dans les pieds de Antoine, il tire et le ballon file dans le filet. Je saute de joie et le stade et en feu. Mon père saute, et tout les joueurs célèbre, je cours vers Antoine et je lui saute dans les bras.

- Bravo champion!!

Je crie.
J'enlace Paul et Lucas et je retourne à ma place à côté de mon père.
Je le prends lui aussi dans mes bras, la joie me submerge.

4 minutes plus tard Jedinak part vers le but et marque.
La joie redescend je vois les joueur ce décomposer et moi je me rassoie au près de mon père. Le temps passe et rien ne marche du côté des bleus. Quand vient la 80 eme, ou Paul tente de tirer, cela rebondit sur le poteau le ballon est toucher par Behich et rentre je le lève saute et crie de joie, je suis limite à en pleurer.
Mon père me sert contre lui.
Tout les joueurs sautent de joie. J'ai des larmes de joie sur mes joues.
Les dix dernières minutes se passent malgré mes tentatives des Australiens, ils ne parviennent pas à marquer.
Le coup de sifflet final retentit, la pression retombe, certain australiens pleures, les français sautent et célèbres. Je cours vers Benjamin et lui saute dans les bras.

Miss DeschampsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant