No one knows who she really is...

Chapitre 7

⚠️ Attention agression sexuelle ⚠️

C H E R Y L

Le lendemain au lycée

Le cours de sport venait de se finir. Toutes les autres filles étaient déjà changées. J'étais seule. Quand soudain la porte s'ouvrît et laisse place à deux grands mecs. Je les reconnais. Ils faisaient partis du groupe qui tentait de m'intimider. Sweet Pea et Fangs je crois.

Cheryl : Qu'est-ce que vous voulez ?
Sweet : Juste te faire passer un message pour que tu comprennes ce qu'on t'as dis hier.
Cheryl : Je vous ai déjà dis que je m'en fichais de ce que vous pouvez penser.
Fangs : On va te montrer ce que tu pourrais subir assez souvent si tu ne t'éloigne pas de Toni très rapidement.

Ils se rapprochent lentement de moi ce qui me pousse à reculer jusqu'à ce que j'atteigne le mur. L'un vient coller son corps au mien et l'autre commence à retirer sa ceinture. Ça y est je commence a vraiment flipper.

Cheryl : Qu'est-ce que vous faites ? Arrêtez ça tout de suite !
Fangs : Ta gueule !

Il vient mettre sa main sur ma bouche pour m'ôter la capacité de parler en même temps qu'ils caressent mon corps en enlevant mes vêtements. J'essaie de crier de toutes mes forces mais impossible, le bruit est atténué par la main de ce sale pervers.

Sweet : Vas-y Fangs. Vas rejoindre les autres, je vais terminer le travail tous seul.

Fangs s'en va me laissant seule avec un mec qui est beaucoup plus grand et plus lourd que moi sans aucune défense.

Cheryl : Je t'en supplie, arrête.
Sweet : Certainement pas surtout que t'es bandante Blossom alors je ne vais pas laisser passer l'occasion. Et puis si tu ne le fais pas, qui sais ce qu'il pourrait arriver à tes enfants ou même à Toni ? Un accident est si vite arrivé...
Cheryl : Tu n'oserais pas... Je t'interdis de les approcher !
Sweet : Mmh je sais pas encore ça va dépendre de toi.

Je souffle d'énervement. A ce moment plusieurs émotions me submerge, la colère, la frustration, le dégoût, la tristesse. Puis d'un coup je me retrouve plaque contre le mur dos à lui. Il me caresse le bas du dos jusqu'à dévier sur mes fesses avant de me retirer mon short. Je sens son membre frotter l'entrée de mon intimité et c'est à ce moment là que je me rends compte de ce qu'il est entrain de faire. Je suis entrain de me faire violer. Et je ne peux rien faire sinon il va faire du mal à mes enfants. Et c'est in envisageable ! Il commence ses vas et vient. Les larmes envahissent mes yeux. Pourquoi la vie est si cruelle avec moi ?

Sweet : T'es sacrément bonne dis donc !

Il me répugne. Ça me donne envie de vomir. Il enlève le dernier tissu présent sur mon corps et parcourt mon corps avec ses salles mains dégoûtantes. Pendant que lui gémit, moi je me sens vide. Sans plus aucunes émotions. Sali par ce gros pervers.

***

Cet enfer a duré plus de 30 minutes. Des qu'il a fini il m'a dit « que ça te serves de leçon » puis il est parti je ne sais où. Quant à moi, je suis toujours dans les vestiaires, recroquevillé sur moi. J'y suis resté pendant environ 10 minutes avant de me rhabiller et de rentrer chez moi. Hors de question de continuer la journée comme ça.

A la maison

Je me pose dans mon lit et verse toutes les larmes de mon corps. Je suis vraiment blessé. Comment avaient-ils pu faire une chose pareille. Surtout que je ne leur ai rien fait. Ni à eux ni à Toni. Enfin je crois pas...