Filant dans le ciel de mon existence,
Parce qu'il a débarqué, brusquement,
Sans prévenir,
Parce qu'il a disparu, subitement,
Sans guérirDes soirs surprenants de Mars,
Aux soirées salées de Juillet,N'est-il pas simple de dissocier
Celui aimé, celui chéri,
Du garçon parti,
De celui qui a fui, qui s'est évaporé,Des discussions sans fin,
À cet appel sans lendemain,Parce qu'il s'est explicité,
Avec confusion,
Parce qu'il m'a laissé,
Avec ses raisonsDe ce partage silencieux,
À cette abîme, malheureuxUn sourire ensoleillé a été mon essence.
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La fine fleur des mots...
PoesíaEst-ce que l'on a le droit de haïr un sentiment ? Je ne sais pas. Mais je le prends. Après tout, je fais ce que je veux, non ? Et puis, je ne pense pas que cette question existentielle soit la priorité du monde. Alors autant en profiter. Donc, je...