Les mots traversent ma feuille,
Ô infini tristesse d'un deuil,
Je ne peux que pleurer,
En ce soir si beau, si meurtrier,
Toi, Ô mon destructeur,
Viens, a sonné l'heure,
Que je renie mon orgueil,
Je t'attends sur le seuil,
D'une porte dorée,
Les rancunes passées,
Qui fanaient mon cœur,
se sont évanouis comme des fleurs,
Oubliant mes écueils,
Dieu que tu le veuille,
Ô Je suis là pour m'excuser,
Je suis là pour pardonner.
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La fine fleur des mots...
PoesíaEst-ce que l'on a le droit de haïr un sentiment ? Je ne sais pas. Mais je le prends. Après tout, je fais ce que je veux, non ? Et puis, je ne pense pas que cette question existentielle soit la priorité du monde. Alors autant en profiter. Donc, je...