Chapitre 2 : Le nouveau

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PDV : Deidara

Le professeur de mathématiques nous distribua les fiches de contrôle. Je mis mon nom et mon prénom et je lus les exercices demandés. Au milieu de ma fiche d'exercices, quelqu'un toqua à la porte. Une jeune femme brune assez petite entra suivi d'un garçon de notre âge. Sous sa capuche noire et bleu marine, il nous regarda du coin de l'œil. La jeune femme se tourna vers notre prof de maths et demanda à voir le proviseur, monsieur Namikaze.

- Les enfants, j'emmène madame Uchiwa chez le proviseur, veuillez rester sages pendant mon absence, je reviens très vite. dit madame Shizune.

Partis, Zetsu regarda Itachi du coin de l'oeil. Prêt à reprendre son crayon, la plante verte se prit un avion en papier dans la tête et entendit un fou rire dans le fond de la classe. Il se tourna et vit Tobi siffloter en regardant par la fenêtre.

Zetsu prit l'avion en papier qu'on lui avait envoyé, et le lança en direction de Tobi qui le rattrapa de justesse. A peine lancé, la porte s'ouvrit et madame Shizune se prit l'avion en papier en pleine gueule.

- Tobi, chez le proviseur dès que madame Uchiwa revient dans la classe ! cria t'elle.

- Comment ça revient dans la classe ? demandai- je.

- Ah oui, j'allais oublier. Un nouvel élève va arriver dans la classe, c'est le garçon que vous avez vu tout à l'heure. La jeune femme qui l'accompagnait est sa mère, alors je vous fais confiance pour bien l'intégrer comme il le faut. C'est clair ? leur demanda madame Shizune.

- A ce propos, avec qui le nouvel élève partagera son casier ? demandai- je avec curiosité.

- Je ne sais pas, avec qui partage tu ton casier, Deidara ? me demanda ma professeure de maths.

- Avec personne, donc je peux le partager avec lui si vous le voulez.

- Parfait. Bon, retournez à vos copies.

TOC TOC TOC

-Entrez !

Un garçon entra dans la classe, et tout la classe le dévisagea. Il enleva sa capuche, puis alla sur l'estrade pour se présenter.

- Bonjour à toutes et à tous, je m'appelle Kurome Uchiwa, et juste avant de venir ici j'habitais en Angleterre, du côté de Londres. J'espère que nous allons bien nous entendre.

- Très bien, tu peux aller t'asseoir à côté de Sasori, le roux là bas. Sasori, lève la main s'il te plait.

A l'intérieur de moi, je bouillais de colère. Il n'avait pas intérêt à me le voler, c'est MON Sasori !

A la pause de 10h, je me précipita en premier, vers le nouveau pour lui poser des millions de questions. Il avait des cheveux noirs comme l'ébène et longs jusqu'au bassin. Ses yeux noirs perçants me faisait trembler.

Les mystères de St-MadaraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant