Après avoir minutieusement écouté l'homme faire son discours, elle se dirigea vers les toilettes.
Pendant tout le discours remerciant le monde venu et ce qu'elle n'écoutait pas, trop absorbait par l'homme, elle psycotait en ayant l'impression qu'il la regardé. Sûrement juste une impression, il faut dire que Monsieur Jones avait bien choisit son public..
Elle entra dans les toilettes plutôt nombreux comme ceux d'un hôtel où ceux d'un lycée enfin ce qu'elle se souvenait d'un lycée.
Après quelques minutes où la fête se déroulé sans problèmes et que Rosa tendait l'oreille, un bruit strident arrêta tout les mouvements dans la grande salle, plus aucun bavardages se fit entendre.
Puis des secondes de silence s'installèrent, et, prenant conscience de ce qu'il venait de se passait, la foule s'affola prise de panique, c'est alors que plusieurs cris résonnèrent dans la salle et dans un sursaut, Rosa remonta ses genoux près de son buste, invisibles vu de l'extérieur.
D'ailleurs, à l'extérieur, c'était le grabuge, tout le mondes criait, la peur et la panique se faisait ressentir dans les hurlements de tous.
Le stress pétrifiait le corps de Rosa et elle sentait ses veines et son cœur pompait le sang qui se glacé en elle.Elle sursauta une seconde fois quand la porte s'ouvrit et claqua, une femme en talons et à la respiration saccadée tenta de se cacher et se retrouva dos au mur.
Quand la porte fut rouverte, la respiration de la femme tomba et elle commença à supplier alors que des pas satisfaits s'avancèrent.- Tu ne peux t'échapper de personne, tu le sais, alors pourquoi tu tentes ?
Un rire se fit entendre et une seconde personne entra en rigolant.
- Ils sont toujours aussi débiles, tu t'attendais à quoi. Tu me diras, celle-là je m'la ferrais sans problèmes mais bon.. À toi l'honneur, je t'en pris !
- Comme tu veux. Annonça la première voix plutôt calme.
Rosa retenait sa respiration, elle était certaine qu'elle finirait comme la fille mais elle s'accrochait à l'espoir de sortir en vie.
Elle savait que ça finirait comme ça.Après quelques secondes, la femme s'était fait fracasser le crâne et son corps était traîné contre le carrelage. Entre la fente de la porte, Rosa vit ce qui restait du visage de la femme, son regard suppliant semblé la regardait et ses cheveux étaient devenus rouges à cause de son sang qui marquait le carrelage.
Rosa regarda la tête du cadavre dans les yeux pendant qu'il se faisait traîné comme un sac dehors.Un silence terrifiant s'était installé dans les toilettes malgré l'épouvante qu'il se passait dehors.
Rosa, de ses doigts tremblants, détacha le loquet de la porte.
Celle-ci s'ouvrit lentement dans un grincement et son regard tomba comme ses tripes quand elle vit le chemin d'hémoglobine qu'avait laissé la femme morte.
Ses paupières papillonèrent avant qu'elle reprenne ses esprits.
Avec des pas peu rassurés, ses talons évitèrent la traînée de sang et elle regarda autour d'elle.
Une fenêtre près du plafond menait sur la cour par laquelle elle était rentrée, l'immense portail noir et doré était fermé.
Si elle forçait, elle pourrait passait par là fenêtre et escaladait le portail. Ce serait risqué, mais qui ne tente rien, n'as rien..Elle s'empressa de monter contre le mur et d'atteindre la fenêtre.
Pendant quelque minutes, elle força la fenêtre mais n'arriva pas à l'ouvrir.
En vain, elle chercha une autre sortie. Elle s'immobilisa quand la porte principale des toilettes s'ouvra lentement.
De son point de vu elle ne voyait personne devant la porte mais elle vit un tout autre décor:Les lumières étaient toutes devenues rouges, les vampires se nourrissaient de tous les corps.
Tout les cadavres étaient à terre, au premier plan, l'homme qui lui avait fait un clin d'œil était mort, au dessus de lui, une femme aux yeux devenus rouges sucé son cou. Ses lèvres étaient remplies d'hémoglobine et ses canines blanches ressortait contre ses cheveux bouclés et roux.
Le nez froncé comme le museau d'une hyène, la femme léchait la nuque de sa proie sans douceur, arrachant des morceaux de peau alors que le regard de l'homme fixait le vide vers le plafond.
Tout le décor n'était que sang et yeux luisants, tout les tissus et canapé étaient tachés et au sommet de l'escalier, l'homme se faisant appeler Jones était accoudée à la rambarde.Il avait une coupe du liquide rouge que tous les autres désiraient.
Il regardait la salle avec un regard satisfait en buvant.
Puis, sentant quelque chose sur sa bouche, il enleva de l'index une goutte de sang au coin des lèvres et regarda Rosa, il lui fait un sourire avant de laisser son regard vogué vers le reste de la salle.
Il l'avait vu, l'homme qui avait organisait tout ça l'avait remarqué.
Il lui montrait son pouvoir, le rapport de force qu'il avait, en face d'elle, une simple humaine comme un lapin au milieu de loups ignorants pendant que le chef jouait avec la panique de l'herbivore.Le front de la jeune femme se perla et sa respiration se saccada en une idée : sortir.
Elle remonta vers la fenêtre en regardant derrière elle, convaincue que l'homme allait descendre les marches de l'escalier pour la mordre jusqu'à la mort.Elle attrapa la poignée de toute sa force et cassa le loquet.
Ses mouvements étaient rapides et elle s'engouffra dans le cadre de la fenêtre.Elle retomba avec difficulté sur ses genoux devenants rouges et s'empressa de courir vers le grand portail.
Quand elle arriva devant, elle ne se retourna pas et posa un premier talons sur les tiges détaillées d'or.
Elle commença à escalader avec difficulté, parfois ses talons se retrouvaient coincés entre les tiges en fer et elle paniquait, de peur de ne pas pouvoir se débloquer ou de tomber.
Elle arriva en haut quand elle entendit des gens courir sur les graviers.- Attrapez la, je ne vous ai pas payez pour la regarder !!
Elle s'accrocha de toutes ses forces au portail pour se mettre debout, si elle passait de l'autre côté, elle pourrait s'enfuir.
Le vent s'engouffra dans ses cheveux lorsque qu'elle leva une jambe pour la passer de l'autre côté, un tremblement la déséquilibra, un homme monta sur le portail et attrapa sa chevilles au vol.
Le coeur de la femme se rompit lorsqu'elle sentit son poids se faire tirait violement, elle s'accrocha aux piques du portail et commença à se débattre, elle avait l'impression de se faire écarteler et elle sentait ses muscles se tendrent.
Elle continuait de regardait l'autre côté du portail en tentant de se détacher de l'homme, ses bras commençait à fléchir pendant que l'homme enfonçait ses doigts dans son mollet.
Plus il s'approchait d'elle et arrivé à l'atteindre, plus son espoir se cloîtrait dans le fond de sa gorge.
Quand un deuxième homme attrapa l'autre pied et tira, les mains de Rosa commencèrent à la brûler alors qu'elle sentait ses os s'écartaient et craqués.
Un cri de douleur s'arracha de ses lèvres alors que les hommes semblait arrachait sa peau.
Après s'être débattu pour qu'elle ne sentent plus ses membres et ses muscles tiraillés, elle sentit ses doigts glissés, elle serra les dents et enfonça ses ongles dans la paume de sa main, elle assembla les dernières forces qui lui restait pour pousser sur ses coudes mais ils lâchèrent dans un craquement douloureux, ses poignets se détachèrent des tiges et les hommes en profitèrent pour tiraient encore plus fort.
Rosa s'écrasa au sol et elle n'eue pas le temps de réfléchir que le choc de la chute la plongea dans le noir sans qu'elle ne puisse faire quoi que se soit._ _ _ _ _
🍒 Bonsoir, bonsoir, vous pensez quoi de ce chapitre, perso, je me sentais pas très bien 😅.
Franchement, je suis contente parce que j'ai l'impression d'en voir le bout, au départ j'avais du mal à reprendre l'histoire mais j'ai remis le pied à l'étrier 😊.
Après j'ai l'impression de faire pas mal de répétition dans ce chapitre 😳.
En vrai, d'un côté j'ai hâte car d'autres projets vont arriver, d'un autre je sais pas, j'ai l'impression que l'aventure touche déjà à sa fin 😐.
Bref, la bise 😊. 🍒
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Dernière Soirée (RÉÉCRITURE EN COURS)
VampireOne-shot de 8 chapitres "Survivre dans une société remplie de créatures à la force surhumaine qui peut briser un crâne juste avec ses mains sans aucune pitier. Telles étaient les règles du jeu." Le gouvernement décide de sacrifier la population et d...