Du bär mitt hjärta i dina händer

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Quand Agnetha se réveilla, elle sentit les doigts de Frida masser son cuir chevelu. C'était apaisant et doux, elle sentait le souffle chaud de Frida sur son front. Elle bougea légèrement, elle ressentait l'inconfort d'être restée trop longtemps dans la même position.

''Tu as bien dormi, bébé ? lui demanda-t-elle calmement."

 Agnetha fredonna, le visage plongé près des seins de Frida, elle respirait doucement, humant l'odeur de la peau chaude constellée de tâches de rousseur.

''Encore un peu grognon, hein?'' 

Elle gloussa gentiment, comme une maman le ferait. 

''Viens, rapproches-toi, mon amour.''

Elle baissa la couverture qui la couvrait et la rapprocha doucement de ses seins, Agnetha ne prit même pas la peine d'ouvrir ses yeux qu'elle sentait l'odeur douce et âcre, elle se laissa guidée par l'odeur qu'elle reconnaissait. Elle enroula ses lèvres autour du mamelon et commença à téter, le lait était fort et sucré. Agnetha téta plus férocement, il y avait la douceur et la fougue de l'amour qui régnait dans la pièce.

''Hey, calmes-toi, bébé, elle rit. Tu as tout ton temps, mon amour, tu pourras le faire quand tu veux, je ne veux pas que tu es de méchants maux de ventre.'' 

Sa voix était devenue plus ferme, mais l'amusement dans sa voix résonnait toujours. 

Agnetha gémit doucement, ses sourcils se froncèrent et sa succion fut plus agressive. La main de Frida passa dans ses cheveux et la rapprocha doucement, et c'est à ce moment que la fille se calma, elle respirait profondément. 

Elle se rendit compte au bout de quelques minutes qu'il y avait plus de lait, le lait qui était chaud, parfumé et gras. Elle leva alors ses yeux vers Frida et lâcha le mamelon. 

''Maman !'' 

Les yeux de Frida s'éclaircirent à la mention qu'Agnetha lui avait donnée de sa petite voix aiguë et enfantine. Elle s'en rendait compte maintenant, mais Agnetha était une vraie petite fille à sa maman.

''Oui, bébé ?''

La fille sourit grandement, son visage si innocent et si doux, son nez qui se fronçait joliment et sa dent-du-bonheur faisaient toute sa beauté.

''Il y a plus de lait qu'avant !" 

Il y avait de la pure joie dans ses yeux, elle ressemblait à la princesse la plus heureuse du monde aux yeux de frida. 

"Oui, mon amour, juste pour toi, seulement pour toi, bébé." 

Le visage rayonnant d'Agnetha lui fit gonfler le cur, elle avait l'impression qu'elle allait exploser.

Quand Agnetha avait épuisé ses ressources, elle l'embrassa. Frida avait le goût de son propre lait crémeux dans sa bouche, il était plutôt bon, très fort, probablement dû aux asperges qu'elle avait mangé hier.

"Tu aimes, maman ?" 

Elle avait ce visage si innocent, et Frida ne pouvait rien faire d'autre que l'aimer.

"Oui bébé, c'est très bon, dit-elle en lui caressant les cheveux." 

Elle aimait quand Agnetha était si belle, après avoir joui encore épuisée. Elle aimait regarder dans ses grands yeux bleus, elles étaient vraiment faites l'une pour l'autre. 

Agnetha avait encore son poing serré, posé sur son sein, sa tête posée sur son épaule, ses franges qui chatouillaient son cou et son souffle brûlant. 

"Pourquoi tu aimes quand je t'appelle 'maman' ?" 

Elle avait une petite voix, encore enrouée.

"C'était sur le moment, je t'ai toujours aimé, ça peut être glauque dit comme ça, mais tout l'amour que j'avais en moi, je ne savais pas comment l'utiliser et je t'ai vu. Ça ne veut pas dire que je t'aime exclusivement comme mon enfant, je t'aime comme la femme que tu es, mais tu es si innocente et tu ressembles tellement à un enfant, que l'amour de mère que j'avait m'avait échappé." 

Every Body Screamed When I Kissed The Teacher Où les histoires vivent. Découvrez maintenant