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Agnetha avait des résultats révolutionnaires. En à peine trois mois, ses notes avaient augmenté de manière considérable. Frida était fière, mais elle voulait ajouter du piment aux révisions qu'elle faisait en toute intimité avec Agnetha. Elle allait l'inviter chez elle et innover pour que l'intérêt des révisions de la fille soit piqué.

Pendant une semaine, elle l'avait laissé mijoter. Frida observait Agnetha qui lui envoyait des signaux de détresse dans son regard. Elle ne l'avait pas touchée depuis une semaine, pas même un baiser. Elle voulait juste que le fille soit assez désespérée pour en faire ce qu'elle en voulait, lui faire perdre la tête.

Agnetha ne pouvait plus marcher correctement après que Frida lui ai martelé le ventre avec ce gode énorme, elle pouvait toujours le sentir battre à l'intérieur d'elle, et à chaque fois qu'elle y pensait, son corps réagissait en conséquence. Quand elle rentrait chez elle, sa culotte était trempée, surtout quand elle revenait des cours de mathématiques. Son périnée avait subi un traumatisme puisque parfois elle avait des difficultés à se retenir.

Une fois, en cours, Frida lui avait glissé un petit papier, si discrètement que si elle n'avait pas levé les yeux, elle ne l'aurait jamais vu. C'était le papier qu'elle tenait actuellement dans ses mains alors qu'elle attendait de voir apparaître la Volvo 164 de Frida dans son allée.

Au bout d'un quart d'heure, Frida arriva. Agnetha s'empressa de monter à côté d'elle et se pencha pour l'embrasser, mais recula instantanément, se rendant compte que tous ses voisins pouvaient la voir. Au lieu de ça, elle lui prit la main et la regarda avec tellement d'amour dans ses yeux qu'elle avait l'impression qu'elle pourrait exploser.

"Tu es belle, dit la fille avec ferveur."

"Tu es encore plus belle, mon amour, revalorisa-t-elle Agnetha pendant qu'elle retirait le frein à main et débrayait."

Arrivée à la maison de Frida, Agnetha se dépêcha de rentrer, la tirant avec elle. La fille n'attendit même pas que la porte soit fermée qu'elle l'enlaça si fort qu'aucune des deux ne pouvait plus bouger.

"Attends, ma chérie, je dois fermer la porte et juste après je suis tout à toi."

Agnetha se détacha lentement et Frida enleva son manteau. Elle ferma la porte à clef et accrocha la clef sur un petit crochet suspendu à côté de la porte.

Agnetha sauta sur elle, enroulant étroitement ses bras et ses jambes autour d'elle. Frida la porta jusqu'au canapé et s'assit avec la fille dans les bras. Elle la sentit enfoncer son visage dans son cou et soupirer de contentement, son corps se détendit contre le sien et sa prise se desserra un peu.

"Je suis confortable ? gloussa-t-elle gentiment."

"Tu es la chose la plus confortable sur laquelle je me suis allongée actuellement, ta peau est douce, j'aime bien ça, elle sent bon, comme si c'était naturel chez toi, et puis surtout tu es chaude."

Elle s'arrêta un moment avant de reprendre :

"Enfin, je voulais dire que ton corps est chaud, pas toi... Enfin si, mais tu es très belle, mais c'est ton corps qui est chaleureux, gémit-elle, gênée, et se tut de peur de s'enfoncer encore plus."

"J'ai compris, ne t'inquiète pas, c'est plutôt agréable de t'avoir allongée sur moi."

Elles passèrent au moins un quart d'heure à se câliner dans un silence agréable, le seul bruit étant leurs respirations. Frida passait ses mains le long du dos d'Agnetha, réveillant peu à peu sa soif de désir. La fille gémit doucement et se pressa doucement contre la cuisse de Frida, son corps se contractait et bougeait un peu plus frénétiquement.

Every Body Screamed When I Kissed The Teacher Où les histoires vivent. Découvrez maintenant