4: vérité mal digérer

5 2 0
                                    

Mardi 25 décembre.

PDV ÉLISE.
Hier après les merveilleuses révélation pleine de rebondissement. Nous avons apprit par le plus grand des hasard bien sur que le père du bébé de Stéphanie est oncle Antoine, ce même hasard nous a permit de découvrir l'infidélité pas très suspecte de notre dit oncle. Quelques minutes apres être rentrée dans notre chambre, j'ai attendu l'oncle Antoine crié comme un mouton qu'on égorge. Puis des crises de larmes infaisable de Stéphanie se sont rajoutées au laut. Si je pense qu'elle a eu le courage de couché avec son cousin qui est par inadvertance le frère de sa cousine, je suis encore retourner. Tout le monde dans cette maison connait très bien Viviane... Elle a vraiment eu du cran.
Je sais que son courage ne va pas l'a sauvé des explosions sonore de Viviane et encore moins du passage à tabac qu'elle subira après son accouchement. C'est certain et j'ai déjà parié avec mes charmant colocataire. D'une oreille, j'écoute les disputes de Garcia et se enfants et l'autre, l'irrespect de Danielson dans la chambre d'à coté. Comment ose t'il s'envoyer en l'air en ce moment de crise? Je ne blâme même pas Vincent, c'est pas sa faute si ce type qu'il traîne comme copine est nymphomane. Sérieux il ne faut pas abusé non plus, j'étais pas sur quand il a balancé a tous le monde que Vincent était fatiguer. Et là il fait quoi ? Si je pouvais lui arracher ces cheveux don il est si fière... J'en serais surement un peu réconforter. Dani ne pense qu'à lui seul, il est pénard dans sa chambre avec son homme, alors que moi, je suis seul ici, dans une solitude sans nom sans mon mec pour me réchauffer de ses doux bras. Toujours dans mon lit, je réfléchis à comment me rabibocher avec mon petit frère. Je me rappelle pas à quel moment cet énorme fosé c'est creusé entre lui et moi. C'est vrai quoi, on est frère et soeur lui et moi, mais lui il a l'ère de l'avoir oublier. Du jour au lendemain je suis devenu la bête noire de mon frère, l'ennemi à abattre. La haine d Phil envers moi à augmenter de 10000% après ma victoire contre son club de maths. C'était qu'un jeu, comment aurai-je puis savoir que ça lui tenait ainsi a cœur ? Je suis pas devain non plus. Avec mes tourments et les peines caché, je m'endormis comme la plus vide des coquillages dans une mer amer de larme.

Le lendemain.

En me réveillant ce matin, j'ai pensé à une seul chose " on est le 25 décembre, et le 25 décembre est considéré comme un jour de fête. La fête en elle même se nomme Noël. Noël où tous le monde est en forme et heureux d'être en famille. En famille pour une soirée magnifique riche en émotions. Émotions de joie, de rire, et pleure. C'est pleure qui sont une façon de montré ce qu'on récent. Ok." Tous cela est tellement loin de nôtre tradition. J'en ris dès fois, seul dans ma chambre. Vous voyez, chaque année c'est la même chose. Pas de bûches de Noël, pas de pull moche, pas de cadeaux autour du sapin géant décoré pour l'occasion. Non, ici c'est joyeux Noël, 200.000€ d'augmentation chaque mois dans ton cont-en-banque. L'esprit de la fête n'est pas cet partir du monde où nous sommes nées désolé. Nos ancêtres devaient être tous riche pour avoir fait de la donation d'argent une traduction. A qui ça plairait ? Je ne m'en plein pas, loin de là. J'ai appris depuis un moment à ne plus espéré un cadeau sous le faux sapin, si bien attendu sapin il y avait. Toujours dans mon monde spécial délire de famille, j'arrive par je ne sais quel miracle sans avoir perdu une ou deux orteils a la salle de bains. Je vais devant le miroir,. Me brosse les dents puis dans la salle de bains où je prends une douche bien chaude. Le froid ne me donne vraiment pas le choix. Yvonne c'est réveillé avant moi et a déjà prit la sienne, je l'ai compris à buillé sur le miroir. La seul chose de coul dans cette baraque c'est l'eau chaude illimité. Je pense toujours à ma vie en tant que Donovan, d'un coup, les images d'un souvenir heureux et calme à la plage avec mon frère me revient soudainement.

C'était pendant l'été, à la plage plus précisément. le soleil était bien haut dans le ciel, nous laissant ainsi profiter de sa chaleur délicate et de ses rayons adoucissantes. J'étais âgée de 12 ans et Philippe était plus jeune de 3 ans . Je portais une robe jaune à fleur et des toncs rouge, mes cheveux a ce moment courte, me frottait le visage et mes lunettes exagérément grande me glissaient des yeux. Je courrais dans cette sable blaches et légèrement tiède à cause du soleil, en appelant mon petit frère ,Philippe qui le sourire aux lèvres arrivait avec difficulté mais courage vers moi. Pour ses petits pieds, c'était un effort colossal que de courir sur du sable chaud. Il avait porté ce jour là, un magnifique caleçon rouge profond et un t-shirt bleu marine. Son sourire était si éblouissante quel aurait puis faire concurrence avec le soleil et son imcomparable éclat.

la gardienne du grimoire T1. le monde parallèle Où les histoires vivent. Découvrez maintenant