Vᴇɴɢᴇᴀɴᴄᴇ

/8/

J'entends des voix, beaucoup de voix. J'essaie d'ouvrir mes yeux mais c'était sans succès.

Il ma fallu quelques minutes pour les ouvrir et je me retrouve devant un endroit sombre et sûrement abandonner depuis un bon bout de temps vue l'état de cet endroit squatter.
Je regarde un peu partout et vois que je suis seulement en sous-vêtements et menottées de partout sur une chaise. J'essaie de bouger mais ça fessait qu'empirer les choses avec toutes les cicatrices et bleues qu'ils m'ont fait. Je soupire énervé en essayant de réfléchir sur un moyen de s'enfuir mais je fût coupé par des bruits de rires. Je regarde droite a gauche mais rien, les rires commencent a s'approchait de plus en plus de moi jusqu'à ce que une main viens de se plaquer sur une de joues, celle de gauche.

Je l'éloigne de ma peau immédiatement en me penchant vers l'autre côté sous le rire de cette personne qui commence déjà a me tapper sur les nerfs.

-Moi: Qui êtes-vous ?

Dis-je d'un ton sec.

La personne rigole encore plus et me répond en passant librement sa main sur mon corps.

-???: Alors comme ça tu ne me reconnais plus ?

Sur ses mots je fonce mes sourcils en détaillant la personne devant moi.

-Moi: Euh On se connait ?

La seule chose que je reçoit comme réponse et une gifle, une putain de gifle qui ma tourner la tête de l'autre côté. Conard il sait pas a qui il a affaire lui.

-???: Ça te rappelle quelque chose cette petite gifle ?

Je ricane en regardant la personne avec défi.

-Moi: Cette odeur d'ordure me disait bien quelque chose.

SPLAFF

Je reçoit une autre gifle de la part de cette personne.

-???: Toujours aussi insolente a ce que je vois.

-Moi: Et avec le temps je l'ai devenu encore plus, Raphael.

Dis-je en ricanant.

-Raphael: Tu vois quand tu veux.

-Moi: Vais droit au but qu'est-ce que tu me veux espèce denfoiré ?

Dis-je plus sérieusement.

-Raphael: Je vois que le chat vient de sortir ses griffes. Tout dous chaton on vas d'abord s'amuser a ma façon a fin d'exprimer ma vengeance envers toi et t'as salle famille et on reparlera des griffes.

-Moi: T'es tellement pathétique et faible en plus. Tu me fais pitié toi et t'as petit famille a deux balles.

Je reçoit un cou sur le ventre cette fois ce qui le fait tousser.

-Raphael: Crois moi tu feras moins la maligne dans quelques minutes et tu le suppliera d'arrêter.

-Moi: Je t'en prie j'en bave depuis un moment.

Dis-je ennuyé par son discours a la con.

-Raphael: Tu fais moins la maligne quand ton petit ami n'est pas la pour ta rescousse hein ?

Dit-il en se moquant. Je lève les yeux au ciel en le regardent doit dans l'œil.

-Moi: Dit moi t'es pas un peu jaloux de mon ancien copain quand même ?

Dis-je en ricanant ouvertement.

C'est le plus ennuyeux des kidnappinge que j'ai connu de ma vie, en tous les cas j'ai connu de plus intéressant.