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- Qui avait parlé de sex ? Dit-il d'un ton amusé.

Je le regarde surprise en levant un sourcil. Il est sérieux là. Ce n'est pas possible. Le masque d'hypocrite n'avait lui aussi pas marché.

- Oublies ce que je viens de dire et aussi les événements qui viennent de se passer avec. Dis-je en me retournant pour sortir, malgré la bizarre l'envie d'y rester.

Il dégageait cet air de mafieux, ce qu'il avait tendance à me mettre dans tous mes états. Je savais que depuis le temps il avait changé, en le fixant des yeux, je pouvais voir qu'il était encore blessé par ce que j'avais fais il y'a cinq ans. Mais je voyais bien que ses sentiments étaient toujours les mêmes, du mois, une certaine partie.

Je sais qu'avec mes actes, je pourrais déclencher une guerre entre nous. Je sais qu'il veut se venger de ma soit disant trahison. Il est encore affecté, et ça me rend malade de savoir qu'il en souffre encore.

Je ressens son bras entouré ma taille d'une délicatesse aussi divine que sexy. Mon regard tombe sur le siens et mon corps risqué de perdre la partie. Reprends toi maudis corps. Mais je lui laisserai pas le plaisir de le constater. Plutôt mourir !

Son regard devient soudainement un peu plus sérieux et il venait de resserrer son emprise.

- Arrête de fuir Audrey. De me fuir. Me lance-t-il en me fixant.

J'appelle ce qui vas ce passer, ma carte joker.

- Te fuir ? Lui fais-je en ricanant légèrement. Vincenzo je t'en prie, depuis quand je fuis les gens ? Toi en plus. Arrête d'halluciné ce genre d'histoire entre nous dans ta petite tête et concentre toi plutôt sur Babel. Lui souriais-je malicieusement.

Il me regarde peu convaincu mais je m'en fichais tant que j'avais obtenu son intention et sa curiosité en disant le mot magique. Babel.

Il sait que je suis leur associée la plus importante, la plus dévouée quand il s'agit de gagner la confiance de quelqu'un et accéder aux secrets les plus croustillants parfois.

Malgré avoir raté la petite soirée de ce soir, avec mes PDG préférés, qui aurait sûrement servit à récolter d'informations, j'avoue pour moi-même et seulement moi-même que l'avoir annulé n'était finalement pas une mauvaise chose.

- Babel ? Qu'est-ce que tu veux dire par là ? Me demande t'il en me regardant de plus en plus sérieusement.

Il croit vraiment que je suis une balance ?

- Je ne pourrait rien t'informer plus que vous devez être sur vos gardes, surtout ta chère petite protégée. Lui informais-je en souriant.

- Ma protégée ? Dit-il un instant intrigué, avant de me lancer un regard amusé et de rire. Jalouse, Kavinsky ? M'avait-Il demander d'un ton malicieux.

Je lève mes yeux au ciel en secouant légèrement ma tête.

- Jalouse ? Et d'une petite avocate en uniforme. Il y'a un instant je te croyais me connaître par cœur. Dis-je presque déçu.

Il allait répliquer quand la sonnerie de me portable interrompe notre petite discussion.

Je lui lance un léger sourire avant de me détaché de son emprise et de me diriger vers le salon où mon sac était littéralement jeté dans le fauteuil. Mon bébé était mal traiter.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 08 ⏰

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VᴇɴɢᴇᴀɴᴄᴇOù les histoires vivent. Découvrez maintenant