Chapitre 38 | Italie

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♡Maylena♡

"Je te jure que si je le retrouve je lui fais la peau !"

Hadrian se marre pendant que je suis debout sur le lit un coussin en main et la lumière allumée à 3 heure du matin.

"Tu vas tomber," il remarque en me tirant par le teeshirt.

"Je m'en fiche, je veux d'abord le tuer !"

Un moustique a fait son entrée dans la chambre et m'a déjà piqué trois fois, me faisant gratter la peau à mort. Évidemment Hadrian n'a rien eu.

Et puis quand je me suis dit qu'il allait s'en aller je l'entendais doucement venir à mon oreille pour me narguer toutes les 20 secondes, j'ai finie par en avoir marre et ca fait 10 minutes que j'essaye de l'avoir, avec Hadrian hilare à chacune de mes tentatives.

"Il est la !" je m'exclame en montrant le mur sur le quel il s'est posé.

Je jete le coussin dessus et le tue.

"OUAIS !" Je m'exclame un peu trop fort en allant voir les dégâts.

Une petite trace de sang est présente sur le mur, signe de mon meurtre.

"Regarde c'est mon sang," je m'exclame en montrant la tache à Hadrian qui s'est approché de moi un sourire aux lèvres.

"Bien fait pour toi," je dis vers le moustique en lui faisant un doigt d'honneur.

"Maylena !" s'exclame Hadrian en m'attrapant la main, visiblement choqué mais aussi amusé de mon geste.

"Bah quoi ? Il l'a mérité !"

Je ne jure ou fait des gestes obscènes jamais mais la ce moustique le mérite clairement.

Il secoue la tête un sourire aux lèvres avant de m'embrasser les phalanges.

Je me gratte le bras ou réside l'une des piqures. Hadrian le voit et m'emmène dans la salle de bain, il ouvre l'un des placards et en sort un pshit anti-moustique.

"Ho non j'aime pas ça brule," je dis d'une petite voix.

J'ai beau avoir endurée beaucoup de chose dans ma vie, ce truc est une vraie torture.

"Tu préfère continuer de te gratter jusqu'au sang ?" il m'interroge.

Je ne dis rien et le laisse me vaporiser de truc qui pique, je serre les dents.

"C'est bien mon coeur."

Il repose le tout et on retourne dans la chambre, demain, notre vol pour l'Italie est à 10 heure, et puisque l'aéroport est plus proche du bâtiment ou j'habitais avant on dort chez lui ce soir.

Je me rallonge et Hadrian m'attire à lui, nichant ma tête dans son cou j'inspire à fond son odeur de vanille. Ses mains remontent le teeshirt que je porte et se posent sur mon dos, caressant doucement ma peau du bout des doigts et m'envoyant des frissons sur tout le corps.

Ses mains descendent lentement avant de se poser sur mes fesses.

"Espèce d'obsédé," je ris.

Amour vaironOù les histoires vivent. Découvrez maintenant