J'irai voir la mer [EN CORRECTION]

Chapitre 9 : Les leurres

Dimanche 18 septembre

Après deux jours de préparations, tout était près. Ils en étaient certain : à dix heures, tout le monde serait debout et près à jouer son rôle. Ils revérifièrent une dernière fois leurs affaires. Puis ils se dirigèrent vers le parc de la ville, le parc Ribot.

Une demi heure plus tard, tout le monde était réunis. Tous par groupe de deux, un debout et un en fauteuil, plus ou moins bien fait. ils étaient tous en ligne, sauf deux, présidant la réunion, les seuls Auguste et Clara véritables. Ceux ci prirent la parole.

«- Tout le monde à son itinéraire et son matériel ?

Ils répondirent en cœur :

-Oui!

- Alors au revoir et bonne chance!

"Foncer, foncer, foncer " était la devise du premier groupe. Ce groupe particulier était composé de trois personnes : Auguste, Clara et Millie, la grande sœur d'un des participant. Et elle ne lâchait pas la pédale d'accélérateur. Ils avaient l'intention d'aller jusqu'à la ville touristique d'Arès, sur la cote. En vingt minutes, ils y étaient.

-J'ai faim! On peut aller acheter à manger s'il vous plaît, Regarder, il y a un Lidl! Dites oui! demanda Auguste.

-Très bien mon pauvre ange!

Et ils entrèrent! Ils entrèrent achetèrent et payèrent sans qu'on leur signale quoi que ce soit. Les problèmes commencèrent à la sortie. Une troupe de policiers les attendaient et les interpelèrent.

-STOP! Vous devez nous accompagnez au poste de police madame! Ces deux enfants ont disparus récemment et vous êtes accusée, à partir de ce jour, de les avoir kidnapper.

Clara et Auguste foncèrent. Leur itinéraire passait par une petite bourgade nommé Berganton. Et s'ils pouvaient, ils continueraient. Le plus loin possible. Mais pas trop de toute façon. Leur moyen de transport pour eux deux n'était pas le plus pratique : la trottinette et le fauteuil à moteur, ajouter et fait main, absolument pas maniable.

Ils allèrent plus loin que prévu. On les arrêta peu après la route de l'ombrière.

-Eh vous ! Arrêtez vous !

Sans plus leur laisser le temps de parler, ils partir en vitesse maximal.

- Appel à  une voiture! Deux individus suspects on été repéré à l'ombrière !

Deux minutes plus tard, ils étaient cernée.

- Je crois que c'est la fin pour nous.

- Il me semble que oui.

Alors, Clara se leva de son fauteuil et Auguste enleva sa perruque blonde.

-On a tenu longtemps, n'est ce pas Phil ?

- Effectivement Tania, et pourtant on essayait pas d'être discret.

Un autre groupe partit vers le nord, mission : St Médard en Jalles. Ils arrivèrent rapidement à leur destination : la gare ! La passerait un bus en direction de Lacanau océan, une ville côtière. A ce moment là arriva un bus : pile à l'heure ! Ils montèrent dedans, surs de leur coup. Mais ils se trompaient. À a moitié du trajet, à 'arrêt La Cousteyre, une bande de policiers pénétra dans le train.

-Votre attention s'il vous plaît! Nous recherchons deux enfants âgés de douze ans, un garçon et une fille. La fille est en fauteuil roulant. Tous les yeux des passagers se tournèrent alors vers eux.

- On est allée le plus loin possible, Fiona, à eux de faire mieux.

- Je sais, Tom, je sais.

Un autre groupe était au port. Le trajet qu'il avaient pris était sans risques, sans arrêt. Le bateau allait directement au Verdon sur Mer. Tout se déroulait bien jusqu'à ce que les policiers arrêtes le bateau au port d'Issan. Lorsqu'ils saisir les deux enfants, ceux ci demandèrent :

-Comment nous avez vous retrouvez .

- La liste des passagers mon petit ! répondit l'un d'eux.

Dean et son équipe avaient la mission la plus importante : mettre le plus de bazar et attirer les policiers dans divers lieux publics : centres commerciales, parcs et même aéroport ! Tout ça en tenant une heure sans se faire prendre !

Au bout d'une demi heure, les vrais Clara et Augustin annoncèrent à lui et à son groupe qu'ils devaient maintenant se séparer.

Alors qu'ils était déjà loin, Dean, les yeux embuées de larmes murmura :

-Au revoir, Clara, au revoir, Auguste ! J'espère que vous réussirez ! »