Moritz

04. PACK OF CIGARETTES

Rita

Le soir, Castillo de harina.

Après m'être laver en rentrant, je me suis recoucher, je n'avais rien d'autre à faire.

Toc... Toc...

J'ai pas très envie de manger, je crois que je vais faire semblant de dormir.

TOC... TOC...

Je sais pas lequel d'entre eux tape a la porte mais elle va finir par être deguonder.

- J'arrive !

Quand je sors de la chambre il n'y a plus personne derrière la porte, ils sont tous autour de la table, hormis monsieur Mejira, entrain de manger un plat de -

- Du tajine ?

Encore, encore et encore.

- Qu'est ce qu'il y a ? Anson m'a dit que t'avais aimé. Me répond Stace.

- Tes plats sont délicieux Stace. C'est juste que j'en ai un peu mare de manger ça à tout les repas.

- Pourtant a midi on avait des hamburgers que Mme Santos nous avez préparer. S'exclame la blonde.

On se regarde tous, même Eshan qui a le nez dans son assiette depuis le début du repas.

Anson rentre dans la pièce et c'est a ce moment là qu'on comprend tous.

- Tu as oser lui faire bouffer le même plat pendant près d'une semaine ! Cris Stace et Shea en même temps.

- T'es grave mec. Rajoute Eshan d'un air choqué.

J'y crois pas il a oser.

Moi qui pensais qu'il essayait d'être gentil avec moi.

Mais d'un autre côté ça me fait rire tellement la situation est insensée.

- Je part du principe que si tu veux manger correctement, tu manges avec tout le monde Rita.

Il est horriblement méchant.

Surtout pour un truc aussi peu important.

- Et ne me sors pas que je suis méchant. J'ai pris le temps de te nourrir c'est déjà ça.

Toujours entrain de lire dans mes pensées, ça va finir par m'énerver avant la fin.

J'hallucine là.

J'ai jamais demandée à ce qu'il me nourrissent et encore moins à ce qu'il me loge.

J'ai demandée à rentrer chez moi et c'est tout.

- Merci pour le repas Stace. Je vais débarrasser mon assiette puis je vais aller me recoucher je pense.

- Bonne nuit ma belle.

- Ne redit plus jamais ça le Tunisien.

En partant dans la chambre j'entends tout le monde rire et j'avoue avoir hésiter à faire comme eux.