Après cette magnifique soirée, j'ai décidé de rentrer chez moi. Je me rends dans la chambres des petits en essayant de faire abstraction des nombreux gémissements provenant de la chambre parentale. Les enfants dorment paisiblement. Je referme le plus doucement possible la porte même si ça ne sert pas à grand chose puisqu'il y a déjà des hurlements d'animaux provenant de la chambre au bout du couloir. J'entre dans ma chambre où je met mon pyjama, un ensemble d'été argenté, et mon casque, puis je me pose sur mon lit. J'enclenche ma playlist "Rock" et monte le son à fond. Je ferme les yeux et reste ainsi de longues minutes.
*****
Voilà une demi heure que je n'ai pas bougé d'un poil, les morceau défiles chacun leur tous dans mes oreilles. Malgré la musique très forte, je perçois une porte claqué au rée de chaussé, sûrement celle de l'entrée. Je n'y prête pas plus attention et reste là, dans mon monde. Mais je suis dérangé par un sentiment d'oppression, quelqu'un m'observe, et il y a du mouvement à ma droite, car une ombre m'a caché la luminosité de la pleine lune durant une seconde. Le matelas se soulève sous le poids d'une personne s'asseyant à mes cotés. Je panique. Je n'ose pas ouvrir les yeux, déjà prise au piège. J'ai l'intime conviction que si je n'ouvre pas les yeux, rien n'est réelle, comme les enfants qui sont persuadés que le fait d'être sous leur couverture effrayera le monstre du placard, ou celui sous le lit. Une main retire mon casque et je sens un souffle chaud glissé contre mon oreille. Je sursaute et ouvre la bouche pour crier, mais une main se plaque sur ma bouche, comme quelques nuits plus tôt. J'ouvre précipitamment les yeux et tourne la tête vers la personne qui me hante à cet instant. Etonnement, je croise le regard plus que troublant de mon cher voisin.
-Putain, mais qu'est ce que tu fiches ici, connard ?!
-Eh, calme toi princesse, je viens t'apporter de quoi dîner. Tu n'est pas resté tout à l'heure, et le docteur m'a dit que tu devais manger, alors compte sur moi pour ne pas te lâcher.
Un sourire narquois s'étend sur mes lèvres.
-Alors comme ça monsieur saute sur la première occasion pour me suivre partout, je dis en haussant les sourcils.
-Peut être bien, princesse.
-Prends pas trop tes aises.
Carl me regarde avec un air de défi que je lui renvoie. Il dépose la boîte qui contient le fameux "dîner", et se penche vers moi, me surplombant de toute sa hauteur. Mes yeux s'égard inconsciemment sur la bouche de mon interlocuteur, et les siens font de même. Cette fois ci, c'est moi qui fait le premier pas, après tout... qui ne tente rien n'a rien. Je bondis sur ses lèvres. Il répond à mon baiser, et il est mille fois mieux que le premier, celui ci est remplis de haine, de passion et de tristesse, j'ai l'impression que tous ce que nous avons sur le cœur ressort à ce moment précis. Le baiser plus que torride que nous échangeons se transforme vite en quelque chose de plus... sexuel.
## Scène à caractère sexuel pouvant choqué ou dérangé certaine personne ##
Carl envoie valser mon casque dans un coin de la pièce, il est vite suivi par le t-shirt du garçon au dessus de moi. Ce dernier s'attaque à mon cou et glisse ses mains sous mon t-shirt n'ayant pas pris la peine de retirer mes sous vêtements sous mon pyjama, Carl se retrouve confronté à mon soutient gorge en dentelle noire. Mon voisin m'enlève mon t-shirt, et il descend sa tête jusqu'à mon ventre où il dépose d'innombrables baisers qui m'excitent un peu plus à chaque fois. Je lâche depuis tout à l'heure des petits gémissement de satisfaction. Carl toujours au dessus de moi, se met à embrasser mes avants bras, puis il retourne à sa précédente activité qui est, je trouve, bien meilleure. Après quelques instants, mon acolytes apporte l'une de ses mains jusqu'à présent entrain de malaxer ma poitrine à titiller mon clitoris à travers mon short et ma culotte. Mon short ne fait pas long feu, et fini au pied dut lit en un rien de temps. Je décide de prendre le dessus, et je fais basculer Carl sur le côté. Je me retrouve à califourchon sur lui, encore une fois. Je déboutonne son jean, et avec son aide, je le retire. Nous voici donc tous les deux en sous vêtements. A cet instant, je ne me pose pas la question "Est ce que c'est mal ?", bien trop absorber par l'envie, le plaisir, et la chaleur entre nous. Pendant que je ne fais pas attention, Carl reprend le dessus, et m'enlève mes derniers habits sans même que je ne m'en rende compte. Je suis nue, sous lui. La suite arrive très rapidement, Carl se démunie de son boxer bleu marine qui moule à la perfection son engin bien gonflé et droit, puis il entre deux doigts dans mon vagin. Je pousse de forts gémissements, et les étouffes à l'aide de ma main, mais Carl la retire et chuchote sensuellement :
-Laisse moi t'entendre, Gabriela.
Moi qui n'est jamais aimé mon nom, il sonne tellement bien dans sa bouche. Carl retire ses doigts, et me pénètre directement avec son pénis. Il ne cesse d'accélérer ses coups de rein, tandis que nous crions à l'unisson.
## Fin ##
Après vingt minutes hautes en couleurs, Carl et moi nous couchons chacun d'un côté du lit. Mon voisin prend ma main dans la sienne sous les draps, et il m'attire à lui en m'enlaçant. Je fait de même et nous terminons par nous laisser entraîner dans les bras grands ouverts de Morphée. Avant de sombrer, je l'entends prononcé ces trois petits mots :
-Je t'aime.
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This boy
FanfictionMoi c'est Gabriela Saw, alias Billie. J'ai 15 ans (bientôt 16). Ma mère est décédée quand j'étais plus jeune, et mon père est malade. Je vis avec lui, ma belle mère et mon demi frère. Je rentre en première. Voilà un an que je ne vois presque plus pe...