Nous étions arrivés au pied de la montagne solitaire. Nous montions pour nous retrouver sur le pont-montoir, là ou Gandalf devait nous rejoindre. Je regarder les alentours, et vit l'ancienne ville qu'était Dale. Je n'arriver pas à imaginer comment un dragon a pu briser autant de vie. Je m'accroupi, et toucha le sol de mes mains. Je ressenti encore plus la puissance de Smaug. Je jetai un regard à Thorin. C'est une mauvaise idée. Le futur Roi sous la montagne nous dépassa.
— Nous devons continuer. Le jour de Durin touche bientôt à sa fin.
Bilbon fronça les sourcils.
— Ne devions-nous pas attendre Gandalf ?
— Qu'importe. Le voyez-vous ? Moi, non.
Sur ce, Thorin est les autres se remit-en route. Je lançai un regard compatissant a Bilbon, et continua la route. Arriver au pied de la montagne, nous vîmes un genre d'escalier. Sens suivi une monte épuisante. Thi'nafy est rester en bas, je préfère quelle surveille l'entrer. Une fois arriver l'entrer, Thorin sourit en brandissant la clé.
— Que tous ceux qui ont doutez de nous, se repente !
Les nains, Bilbon est moi-même, crions gloire.
— Dwalin, Balin, Oin, Bifur, trouver l'entrer. Le temps presse.
Thorin se retourna vers moi.
— Syllynn, dit moi, le dragon, est-il endormi ?
*
Je tâter le sol de mes mains. Je ne sentais plus rien. Je commencer à perdre patience. Les nains n'arriver pas à ouvrir la porte secrète. Le soleil commencer à tomber. Je commencer sérieusement à me dire que c'est peut-être la meilleure chose de la journée. Au bout d'un moment, le soleil a laissé place à la lune. Froide est solitaire. Thorin, à jeter la clé, puis est redescendu. Ce serai mentir si je disais que j'étais rester avec Bilbon. Non, je suis reparti en bas. J'ai suivi Thorin. Je suis lâche. J'ai laissé Bilbon pour la seconde fois. Seulement, je n'avais ni la force, ni le courage. Tout à coup, nous entendîmes Bilbon hurler. Je lançai un regard a Thorin, est remonta les escaliers à grande vitesse. En arrivant en haut, à bout de souffle, Thorin me dépassa à agrippa la clé avant qu'elle ne tombe. Il la prit et se dirigea vers la serrure, mit la clé à l'intérieur, et la porte s'ouvra. Un courant d'air nous envahi tous. Je senti immédiatement le dragon. Thorin se glissa à l'intérieur, en compagnie de Bilbon et de Balin. Ce dernier m'intima de les suivre. Je pénétrai à l'intérieur, et vit une fresque. L'Arkenstone. Balin, Bilbon et moi, nous retrouvâmes seul. Au loin, je vis quelque chose de brillant. L'or.
— Bilbon, c'est maintenant que nous allons avoir le plus besoins de vous.
— Comment ça ?
— Si nous avions besoins d'un cambrioleur, c'est pour voler. Et en l'occurrence, c'est ceci qu'il va falloir voler.
Balin désigna l'Arkenstone. Je vis du coin de l'œil Bilbon devenir blanc.
— Syllynn, tu resteras ici et nous préviendra du moindre mouvement suspect.
— Bien.
Balin s'apprêter à partir quand il se retourna vers nous.
— Oh, est Bilbon. Si par pur hasard vous croiser un dragon, surtout, ne le réveiller pas.
Sur ce, il reparti. Bilbon me lança un regard de peur. Je compatis. On ne s'en sortira pas vivant.
Cela faisait plusieurs minutes que Bilbon est descendu. Je n'entendais plus rien. Pas de dragon, pas de hobbit. Alors que je marcher en rond, je me sentis tomber. Je ne sais pas où j'étais. Il faisait sombre. Il y avait un orque avec... Gandalf. Puis l'elfe blanche. Je l'entendis presque. J'essaya de me rapprocher, mais je tombai. J'atterri de nouveaux dans un endroit sombre. Avant d'arriver à me lever, je sentis qu'on agripper mes cheveux. En levant les yeux je vis l'orque pale. Azog le profanateur. Comment arrive-t-il à me toucher ? Je le vis sourire et il rapprocha lentement ça tête de la mienne.— Ûk ishi burzum.
Je ne comprenais pas, tout à coup, il me lâcha, et je me rendormis. J'ouvris les yeux et me releva en sueur, tremblante de partout. Thorin était devant moi. J'étais dehors, Thi'nafy était là aussi.
— Que s'est -il passé ? Pourquoi suis-je dehors ? Ou est Bilbon ? Comment-
— Oh tout doux. Nous t'avons trouver dehors allonger en tremblant. Nous ne savons pas comment tu t'es retrouvée ici. Et pour Bilbon, aucune nouvelle. Il y a juste beaucoup de tremblement.
Je commençai à comprendre.
— Il s'est réveillé. Smaug est réveiller.
*
Je me demander quand Bilbon allait revenir. Les tremblements s'étaient intensifiés. Et j'ai pris une décision des plus ridicules. J'ai renvoyé Thi'nafy à Esgaroth pour retrouver Fal-langgri. Ils doivent retrouver Gandalf. J'ai peut-être fait l'erreur de ma vie. Mais j'en assumerais les conséquences. Et je dois m'assurer que Gandalf va bien. Et les mots d'Azog reste dans mon esprit. Étrangement, ça voix ressembler aux voix dans la forêt Noir. Me posant mille et une question, mon crâne commençais à me faire mal. Je le pris dans mes mains, fermant les yeux. Les paupières clauses, je ne vis pas Thorin entré dans la montagne. En les ouvrants, je vis les nains me regarder.
— Quoi ?
Balin se rapproche de moi.
— Pendant que tu étais endormi, tu murmurer des choses étranges.
— Pas de panique, c'était juste un cauchemar. Ou est Thorin ?
— Il est parti chercher...
Balin ne put finir sa phrase, qu'un conduit de feu sorti de la porte secrète. Me dépêchant de me lever, je rassemble les nains derrière moi. Le feu m'atteint. Une fois la rafale passer, les nains me regardèrent étonner.
— Les dragonniers ne craignent pas le feu.
Les nains continuèrent de me regarder avec intrigue, avant que l'on soit coupé par Thorin est Bilbon, débarquant en vitesse hors de la montagne. Le roi nain avait son manteau en feu. Il l'enleva en vitesse, avant de se tourner vers nous.
— Le lézard est bien réveillé. Et on va allez lui régler son compte.
Le regard du nain se posa sur moi.
— Syllynn, je veux que tu restes à l'extérieur.
Mes sourcils se froncèrent.
— Je serai bien plus utile dans la montagne, Thorin ! Dois-je te rappelé que je suis une dragonnière ? Je parle aux dragons !
— Et alors ? Thorin se rapprocha de moi, et continua prêt de mon oreille, si par malheur nous devions y rester, tu devras voler jusqu'à Lacville pour prévenir les habitants du danger.
Je le regarde, je ne veux pas les abandonner, mais la vie de toute une ville est en jeux si je ne fais rien.
— D'accord, mais promet moi de tous ressortir vivant.
Thorin hocha la tête, et parti prêt des autres. Comment tout a pu tourner aussi mal ? Je levai la tête vers le ciel, et tenta d'appeler Thi'nafy. Quelque seconde plus tard, un rugissement retentit. Ma dragonne venez d'arriver.
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Le hobbit : Le destin d'une Dragonnière TOME 1
FantasyEn terre du milieu, une jeune fille vit sa vie avec son père adoptif. Dernière Dragonnière, elle va faire la rencontre de nains plutôt... étrange. Ensemble, ils vont parcourir un nombre d'aventure, de problème et de mystère. Et surtout, qui est vrai...