Tous les elfes nous on fouillait et on récupérer nos armes. Mais j'étais préoccupé par l'absence de Bilbon. J'espère qu'il sent ai sorti. Je me suis aussi demander ou était mes dragons, quand je l'ai ai aperçus au loin. Alors qu'ils se dirigeai vers nous, je fis non de la tête. Fal-langgri me regarda d'un air de dire "nous venons vous sauvez", mais je refis non de la tête, leurs faisant comprendre qu'ils devaient partir de cette forêt. Je regardai autour de moi, aucun elfe les avait remarqués, je me mis alors dos à Thi' et Fal, pour leur faire quelques signes de main. C'est comme cela que nous communiquions quand on devait rester discret. Je leurs indiqua que nous allions être amener au palais des elfes, et qu'ils devaient attendre de nous voir sortir pour intervenir. Je tournai un peu la tête pour les voir partir. Je souri un peu. L'elfe blond viens me voir, me regardant de haut en bas d'un air dédaigneux. J'entrouvris la bouche et fronça les sourcils. Pourquoi il me regarder comme ça ? Il me fouilla encore une fois, surement pour vérifier que je ne fasse pas comme Fili. J'en profita pour le regarder un peu, il était plutôt grand, je ne suis pas spécialement petite mais comparer à moi, je faisais un peu ridicule, ces yeux refléter la tristesse. Plus je le regarder, plus je me disais qu'il avait dû vivre des choses horribles dans sa jeunesse. Je continuais de le regarder, quand j'entendis un raclement de gorge, c'était lui. Je détournai les yeux, et sentis quelque rougeur sur mes joues. Il s'éloigna de moi pour se positionner devant Thorin, il récupéra son épée :
— Une lame elfique... forgeais par les miens...Ou là tu eu ?
— Elle m'a été offerte.
L'elfe blond pointa le bout de l'épée sur le torse de Thorin :
— Pas seulement voleur, mais aussi menteur. Qu'on les emmène !
L'elfe rousse me poussa dans le dos-aie- j'ai surement dû me faire mal en tombant. Le blond me regarda puis me dit quelque chose de déroutant :
— Avance, Shur'tugal.
C'était de l'elfique, et ça signifier... dragonnier.
*
On se retrouvais donc devant l'immense palais. Sa aurais été dans d'autre circonstance j'aurais surement crié que c'était magnifique, mais la non. J'avais plutôt envie de crié " Lâchés moi ou je lance mes dragons sur votre somptueuse demeure !". Je voulais aussi savoir comment l'elfe savait que j'avais des dragons, ou alors il a seulement dit ça pour me déstabiliser. Oui c'est ça.
Nous étions donc enfermés. Seul Thorin pourrait nous sortir d'ici. Il avait un genre d'entretien privé avec le Roi des elfes. La rousse m'avait refouillée, surement pour voir si je ne cacher pas autre chose. Manque de chance pour elle, j'avais caché le couteau que Beorn m'avait offert à mon dix-huit -ème anniversaire, dans ma botte. Je vérifiai qu'elle soit bien partie pour le sortir. J'essayai de faire sauter la serrure, je penser que c'était plus facile que ça. J'étais tellement concentrée sur cette fichue serrure, que je ne vis pas la personne qui c'est poster devant moi. C'est quand j'ai entendu un grattement de gorge, que j'ai arrêté de bouger. Mon dieu j'aurais dû vérifier qu'il n'avait vraiment personnes. Je levai lentement les yeux vers la personne en face de moi, quand je vis que c'était l'elfe blond. Je dégluti. Pourquoi fallait-il que ça tombe sur lui ? Il me jugea de la tête au pied en haussent les sourcils. Je le vis tendre sa main vers les barreaux, je compris donc que je devais lui donner mon couteau. Je fis une moue, et le regarda. Lui aussi me regarder. Je pus me rendre compte à quel point il était beau. Je détournai le regard après cette penser. Puis, il partit sans un mot. J'avais l'impression que ma respiration c'était couper. Je me retournai et m'asseyais par terre. J'espère que Thorin va faire le nécessaire. Sinon on n'arrivera jamais avant le dernier jour d'automne. Le jour de Durin.
*
Bon, je crois bien que l'on va rester ici encore bien des Lunes. Thorin avait insulter le Roi, cela voulait donc dire que notre dernier espoir était Bilbon. Malheureusement, même s'il avait pu passer, je ne pense pas qu'il s'en sortirait vivant. J'étais totalement retournée, j'avais un mal de crâne horrible. Il fallait absolument que je retrouve mes dragons, sinon je pense que je vais m'évanouir. Je ne pouvais pas rester trop longtemps sans eux. Quand tout à coup, je vis une petite forme courir vers nous. Bilbon ! Comment avait-il fait ? Il ouvra les portes du cachot. Je lui souris. Alors que l'on allait se dirigeais vers la sortie, Bilbon nous en empêcha :
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Le hobbit : Le destin d'une Dragonnière TOME 1
FantasíaEn terre du milieu, une jeune fille vit sa vie avec son père adoptif. Dernière Dragonnière, elle va faire la rencontre de nains plutôt... étrange. Ensemble, ils vont parcourir un nombre d'aventure, de problème et de mystère. Et surtout, qui est vrai...