La rencontre

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Un jour, en vacances, alors que tout allez bien pour moi, que j'étais paisiblement en train de profiter avec mes amies à la plage, en Espagne, je vis passer mon crush ultime. Édouard Michut. Jeune joueur international du Paris-Saint-Germain.
Je savais pertinemment que je pouvais le croiser. Car la veille, j'avais vu ses stories sur Instagram, et il était dans la même ville que moi, j'avais reconnu certains endroits. Mais je fis quand même étonnée de le voir. Cependant, je ne suis pas la seule à l'avoir remarqué, oh que non ! Je pouvais bien évidemment compter sur une de mes meilleures amies aussi fan de foot que moi, Héloïse. En parlant d'elle, elle arrive en courant derrière moi en criant :
- ALIÉNOOOOOOOR !!! T'AS VU QUI EST LÀ ??!
- Chuuuuut, moins fort. Il va nous remarquer répondis-je.
C'est alors a ce moment précis qu'il se retournat et nous vit. Je devins alors rouge comme une pivoine et Héloïse se mit à rire. Édouard s'approcha alors des filles et dit :
- Salut, je peux vous aider peut-être ?
À ces mots je tomba dans les pommes.

PDV Héloïse

- ALIÉNOR, RÉVEIL TOI ! ALIÉNOR TU M'ENTENDS ??! ALIÉNOR S'IL TE PLAIT REPOND MOI ??
Alors que je m'étais accroupie à côté d'Aliénor je vis qu'écouter avait fait de même et il réitéra sa question mais cet fois sans humour dans sa voix.
- Puis-je vous aider ?
- Oui je veux bien s'il te plaît tu peux allez chercher de l'aide s'il plaît un maître nageur, un pompier ce que tu veux mais quelqu'un de compétant.
Il hocha la tête et parti aussi vite qu'il le pu parce que le monde s'était aglomerait autour de nous parler partant il hurla dans un espagnol parfait:
- Il n'y a rien à voir, vous pouvez partir, elle a besoin d'air.
Par chance c'était encore un jeune joueur par trop connue dans le monde entier donc il ne se fit pas reconnaître.

Cinq petite minute plus tard il revient avec un secouriste. Aliénor étant toujours au sol inconsciente mais respirant toujours je l'ai mise en position latéral de sécurité. Le secouriste demanda alors comment cela s'est produit mais ne sachant pas parler assez espagnol pour expliquer le cas Édouard fit le traducteur. J'expliqua donc à Édouard pour qu'il puisse traduire au secouriste, que cela faisait deux jours que l'ont venait à la plage alors même qu'il faisait très chaud. Que nous ne nous reposions pas beaucoup car le matin nous faisions des visites puis que l'ont pique nique sur la plage sans forcément nous mettre à l'ombre. Et forcément qu'elle avait vu quelqu'un qu'elle admirait beaucoup et donc j'émit m'hypothèse du fait que le soleil, la chaleur plus le fait de la surprise de voir une de ses célébrités préférés peut être à l'origine de sa perte de connaissance.
À ce moment là Édouard me regarde étonné même si on va pas se le cacher il avait entendu quand j'ai crié.
Il expliqua donc au secouriste, qui directement demanda si Aliénor avait bu ou pris des drogues, je lui dit que non elle n'a rien pris de tout ça. Il fini donc par appeler les pompiers. Ils arrivèrent et demande à ce qu'il y ai un accompagnateur, mais alors que je monte dans le camion avec Aliénor, Édouard m'interpelle :
- Hé ! Prend ça ~il me tend un bout de papier~. Tu pourras me donner de ses nouvelles ? Et au fait tu t'appelles comment ?
- Héloïse, et oui je n'y manquerai pas. Je lui fit un léger sourire avant que les pompiers ne referme la porte.

Une fois arrivées à l'hôpital Aliénor part en observation. Le verdict tombe, elle a une insolation, ajouté à cela la fatigue et la surprise son corps n'a pas supporté. Elle a donc perdu connaissance et est dans le coma. Je peux maintenant la rejoindre dans sa chambre. Je vais rester deux jours à son chevet. Au début de la première journée de ces deux jours, je tiens au courant Édouard de la santé d'Aliénor. À ma plus grande surprise il ne mit pas longtemps à me répondre et me demande le nom de l'hôpital où nous sommes pour nous rejoindre. Même pas une demi-heure après je le vois passé le bas de la porte. Il s'excuse du retard, en se justifiant du fait qu'il a dû prévenir ses copains qu'il s'absenter pour un temps indéterminé.
- Attend, comment ça un temps indéterminé ? Tu ne va quand même pas rester là jour et nuit alors qu'on ne se connaît à peine.
- Si si, j'insiste vraiment à ce que j'ai compris vous me suivez dans le foot donc je ne suis pas si inconnu que ça. Et puis je t'ai quand même aidé à la secourir donc il me semble normal que je sois là. Puis vous n'êtes pas que toute les deux vous êtes venues avec d'autres amies ?
- Oui, en effet. Tu as raison je vais allez les rejoindre et leur donner des nouvelles d'Aliénor. Par contre on va poser les règles dès maintenant. Tu ne l'approche pas tu restes assis à côté de la fenêtre le plus loin d'elle. Je veux des nouvelles d'elle toutes les heures et dès qu'un médecin entre tu m'appelle pour que je vienne au plus vite de toute façon notre hôtel est juste à côté donc je ne mettrai pas longtemps à arriver.
- Ok, ouais, pas de problème on fait comme ça.
Je partis donc rejoindre les filles à l'hôtel. Elles m'attendaient toutes les trois dans le hall. À peine arrivée elles me demandèrent comment va Aliénor, si elle va se réveiller et avec qui elle est en ce moment. Je leur répondit donc qu'elle est dans le coma, qu'elle est tombé dans les pommes suite à une insolation, beaucoup de fatigue et la surprise de voir un de ses joueurs préférés. Qu'il est actuellement à l'hôpital en train de veiller sur elle et qu'au moindre problème il m'appelle. Sachant que la journée est bientôt fini, nous décidons de rester à l'hôtel.
Il est maintenant 23h je n'arrive pas à dormir, ne pas être au près d'Aliénor me rend malade. Je décide donc de préparer mes affaires, d'envoyer un message au fille pour les prévenir de mon départ dès le lendemain matin pour l'hôpital pour rejoindre Aliénor et Édouard. J'attend donc 7h et part aussitôt en direction de l'hôpital. Une fois arrivée là bas Aliénor est toujours dans le coma, Édouard est avachi sur le pied du lit et dort. Je m'assoit donc de l'autre côté du lit et je prend la main d'Aliénor dans mes mains et j'attend qu'elle se réveille tout en lui parlant. Le bruit de ma voix doit déranger Édouard parce qu'il commence à bouger. Il finit par se réveiller, il me regarda d'un air surprit ~je ne l'ai peut être pas prévenu c'est vrai~, je lui explique donc pourquoi je suis ici et qu'il y a certainement les filles qui vont arriver. Il me répond donc qu'il va nous laisser entre filles et qu'il reviendra peut être plus tard, mais qu'il veut que je le tienne au courant quand elle se réveillera.
Alors qu'Édouard sort de la chambre un médecin accompagné des filles arrive. Je regarde Édouard qui comprend donc ma détresse car que ce soit moi ou les filles nous ne sommes pas très fortes en espagnol, surtout que dans le lot Zia et Ella ont fait LV2 allemand donc nous ne pouvons pas forcément compter sur leur aides. Quant à Cybèle elle a un un niveau un peu plus bas que le miens donc il vaut mieux qu'Édouard reste avec nous au moins pour la traduction. Le médecin nous dit donc qu'ils ont poussé les analyses un peut plus loin parce que d'après eux si il ni y'avait rien de spécial elle ne devrait pas être dans le coma. Ils nous disent donc qu'elle s'est sans doute fait droguer à son insu. On nous demande ce qu'elle a bu. Nous lui disons donc qu'elle a bu une grenadine qui a été un petit moment sans surveillance car nous sommes toutes allées nous baigner et il lui restait de la grenadine dans son verre donc en effet ce ne serai pas improbable que ce soit arrivé. Le médecin nous affirme donc qu'Aliénor a été droguée à son insu. Il nous dit donc qu'il va procéder à un lavage d'estomac et que nous allons donc devoir sortir de la chambre. Chose que nous faisons immédiatement car cela fait maintenant 24h qu'elle est ici. Édouard décide de partir pour de bon cette fois ci et je lui dis de ne pas s'inquiéter qu'avec les filles on se débrouillera avec de l'anglais et que je le tiendrais au courant s'il y a du nouveau.
Tout se passe à merveille, le médecin nous dis qu'Aliénor s'en est très bien tirée, qu'il ne reste à ce jour rien de la drogue qu'elle avait pu ingurgiter. Cela était donc signe qu'elle en avait avaler très peu, ce qui nous rassura tout de même.

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