Surprise

L'hôpital

Le deuxième jour, nous sommes toutes dans la chambre nous attendons patiemment qu'Aliénor se réveil mais il ne se passe rien de spécial. Mais lors du troisième alors qu'Édouard venait d'arriver pour prendre des nouvelles de notre protégée et que je l'accueillais j'entendis Cybèle crier.
- HÉLOÏÏÏÏSE, ALIÉNOR VIENS DE BOUGER !!!
Je me rendit donc le plus vite que je pouvais et me rendis au près des filles et d'Aliénor. Édouard resta en retrait tandis qu'au même moment Aliénor ouvrit les yeux.

PDV Aliénor

Je me réveille tout doucement, j'entends du bruit, j'entends même quelqu'un crier. Je reconnaîtrai entre mille la voix de Cybèle. Mais pourquoi crit-elle ? J'ouvre alors les yeux et je vit des personnes autour de moi. Quatre pour être exact, je crois reconnaître les filles. J'ouvre donc un peu plus les yeux et ce sont effectivement les yeux. Mais je vis une silhouette masculine au loin qui attend, qui ne sait pas où se mettre je crois reconnaître Édouard Michut mais je ne suis pas sûre. Les filles me parle, j'en suis consciente, je les entends mais il m'est impossible ni des les écouter ni de leur répondre. Je suis bien trop occupée à essayer de me rappeler ce qu'il s'est passé, pourquoi je suis la dans ce qu'il me semblerait être un hôpital et surtout pourquoi Édouard est là, si c'est bien lui ?!
Je regarde donc les filles une à une et j'entends une porte s'ouvrir, je vois un médecin entrer dans la pièce il me demande comment ça va et il demande également à tout le monde de sortir. Je demande donc au médecin qui est la personne qui restait en retrait lorsqu'il est rentré. Il me dit dans un anglais que je comprend vaguement qu'il ne connaît pas ce garçon mais que depuis le début il est là, et la tout me revient en tête et je demande au médecin de ne laissé rentrer que les filles lorsqu'il sortira. Il me dit qu'il n'y a pas de soucis pour ça puis il fini de me faire les soins afin de pouvoir me laisser avec les filles.
Le médecin sort et laisse donc entrer les filles et explique au garçon pourquoi il doit rester dehors, je vois a sa tête qu'il est déçu mais il accepte tout de même ma décision et attend tranquillement devant la chambre. Une fois la porte refermée et les filles autour de moi elles commencent à parler toute en même temps.
- Comment tu vas ?
- Ça va mieux ?
- He! Oh! Doucement les filles s'il vous plaît je viens juste de me réveiller. Mais oui ça va, dis-je avec un sourire en coin. Et je voudrais savoir qui est cet homme qui était dans la pièce avec vous ?
- T'es sérieuse ?! Tu ne te souviens pas de lui ?!, me dit Héloïse.
- Bah disons qu'il me dit quelque chose mais je ne suis pas sûre.
- C'est Édouard, Édouard Michut.
- Ah, merci de confirmer mes doutes.
Je regarde Cybèle, qui a les larmes aux yeux, est un peu en retrait et près de la porte et lui demande si elle peut aller le chercher. Elle me regarde avec un grand sourire et ouvre la porte et lui dit qu'il peut rentrer. Il rentre donc d'un pas timide et me regarde. Il a l'air mal a l'aise et je ne sais pas pourquoi mais cela me fait plaisir qu'il soit là avec les fille. Cela veux dire beaucoup pour moi. Je pense que le fait qu'il soit un peu connu à aider les filles à l'accepter parce que Ella, Zia et Cybèle ne sont pas du tout branchée foot donc elle be le connaissait pas. Mais les connaissant elles ont dû faire des recherches et se renseigner au près d'Héloïse.
Sortant de mes pensées je vis qu'ils me regardèrent tous, comme s'il attendaient une réponse. Je demande donc ce qu'il se passe et Ella me répond :
- Rien, juste il est rentré dans la pièce et depuis tu le regarde comme une enfant qui regarde une montagne de bonbons.
C'est alors qu'ils se mettent tous à rire et je les regarde et demande pourquoi pourquoi suis là.
Héloïse me dit donc comment je suis arrivée là avec tout ce beau monde autour de moi :
- C'était il y a trois jours, on était à la plage avec les filles, comme tout les jours depuis notre arrivée, et on en se reposer pas beaucoup. Ok voulait faire une pause toute les deux donc on est venu se poser au soleil et tu avais un verre de grenadine qu'on a laisser sans surveillance et de la drogue à était mise dedant, et tu avais tellement soif que tu t'es littéralement jetée dessus. Et la arrive le moment où tu vois Édouard et où je le vois aussi et où je te cri qu'il est là. Il m'a entendu, il s'est retourné et tu as perdu connaissance. Et ça fait 3 jours qu'on est là à veiller sur toi. Édouard n'a pas était la tout le temps...
- Mais c'est normal, la coupais-je, il faut qu'il profite des amis lui aussi.
Édouard me regarde et veux prendre la parole mais je sens qu'il ne sens pas à l'aise, je voudrais lui dire qu'il peut parler mais les mots ne sortent pas. Non au lieu de ça je le regarde dans les yeux, et à ce moment précis il se passe quelque chose. Je ne pourrais pas vous décrire quoi, mais ce dont je suis sûre c'est qu'il n'est pas la par hasard.
Notre moment si précieux est interrompu par des toussotements provenant de Zia qui, lorsque je tourne la tête me montre discrètement que le médecin est là. Je regarde donc le médecin et vit en même temps se reculer et laisser la place au docteur. Édouard fit de même tout en restant assez proche quand même, plus proche que les filles. Et le médecin, qui cette fois parle en espagnol ~je comprend encore moins que lorsque qu'il me parlait anglais~ se tourne vers Édouard. Sur son visage apparaît un grand sourire mais je ne sais pas pourquoi car en plus de parler espagnol, il ne parle pas très fort. C'est alors que lorsque le médecin a finit de parler il vient me pré dire dans ses bras et me dit à l'oreille :
- Maintenant que tu peux sortir, toi et tes copines je vous invite, avec l'autorisation de collègues, dans l'appartement que nous avons loué pour notre séjour ici.
- Je..je ne sais pas quoi dire. Vraiment merci beaucoup mais notre séjour en Espagne touche à sa fin et nous allons devoir partir d'ici peu.
Alors que je vais pour resserrer mon étreinte, les filles s'approchent. Je lâche donc Édouard et regarde les filles et leurs dit que je peux sortir mais tout comme moi elles sont à la fois heureuses et déçues car nous allons devoir partir dans même pas deux jours. Voyant nos tête Édouard me regarde et dit :
- Vraiment Aliénor, j'insiste il faut que tu te repose donc rester la un peu plus longtemps l'appartement est assez grand pour accueillir quatre personnes en plus.
Les filles me regardent avec incompréhension je leur dis donc ce qu'Édouard à dit et les filles ne trouvent rien de mieux que de se ranger de son côté en me disant qu'il n'a pas tord, que j'ai besoin de repos et qu'en plus de cela nous sommes venues en voitures donc il n'y a vraiment rien qui nous empêche de rester ici un peu plus longtemps.
Je les regarde, je regarde Édouard, qui entre temps a pris ma main ~qui n'est maintenant plus perfuser~ et qui n'a pas l'air de vouloir la lâcher. Je regarde à nouveau les filles et je vois qu'elles attendent une réponse de ma part je choisis donc de rester un peu plus en Espagne. Je vois les filles sauter de joie et se prendre dans les bras et le soulagement dans les yeux d'Édouard qui me serre un peu plus la main et qui se penche pour m'embrasser le front.

Cela fait maintenant deux jours que nous sommes dans l'appartement qu'Édouard et ses amis ont loué pour leurs vacances. Eb arrivant, nous avons eu la surprise de voir qu'il était là avec Kylian Mbappé, Xavi Simons, Éduardo Camavinga ainsi que Prenel Kimpembé. Lorsqu'une Héloïse nous avons va ça nous étions folles. Depuis, Édouard ne fait que me demander comment je vais et si je ne me sens pas trop fatiguée. Depuis notre départ de l'hôpital nous n'avons pas reparlé de ce qu'il s'est passé. Je n'ai donc aucune explication de pourquoi il a agit comme ça. De plus, il est au petit soin avec moi, car il nous avait dit qu'il y avait de la place pour tout le monde sauf qu'il manque un lit et il a donc pris le canapé et m'a laissé la chambre où il était. Chambre, dans laquelle je suis car il est actuellement sept heure du matin et que je viens de me réveiller par un boucan pas possible provenant du salon. Le bruit s'arrête d'un coup et j'essaye donc de me rendormir. Mais c'est maintenant l'eau de la douche qui se met à couler je n'arrive donc pas à me rendormir. Je vais donc sur mon téléphone et vais machinalement sur instagram. C'est alors que je reçois une notification me signalant un nouvel abonné, je vais donc voir qui c'est et je fis surprise de voir que c'était Édouard. Je n'est pas le temps prendre conscience de cela qu'avec un sourire niait plaqué sur mon visage, un rayon de lumière m'éblouie. Je regarde donc en direction de cette source de lumière, qui provenait de la porte qui s'est entrouverte et vis Édouard, les cheveux trempé, vêtu d'une simple serviette nouée autour de la taille.
- Excuse-moi désolé, je croyais que tu dormais encore. Dit-il en repartant vers la porte.
- Non t'excuse pas, tu es plus dans ta chambre que je ne suis dans la mienne.
Je me lève et sortie donc de la chambre. Au moment de passer à côté de lui il me pris le bras et me colla à son torse.
- Pourquoi tu fais ça Édouard ? D'abord le bisous sur le front à l'hôpital sans aucune explication, puis maintenant, non ce n'est pas possible. Faut arrêter.
- Pourquoi arrêter quelque chose qui n'as même pas commencé ?
- Toi comme moi savons que ce n'est pas possible.
- Pourquoi ce ne serait pas possible, ne me sort pas l'excuse que c'est parce que c'est par rapport au foot et tout.
- Je ne dirai rien alors.
- Non, mais vraiment Aliénor. Ce n'est pas parce que je fais du foot en professionnel que nous ne pouvons pas être amis.
J'allais lui répondre lorsque j'entends du bruit. Édouard l'entendit aussi, nous nous taisons donc et j'entendis la voix de Camavinga et celle de Cybèle. Édouard a l'air contrarié je le regarde donc avec insistance pour savoir pourquoi.
- Pourquoi t'es contrarié ? Si ça se trouve ils se sont réveillés en même temps et puis c'est tout ils vont prendre le petit déjeuner ensemble ça arrive, et puis ils font rien de mal en soit.
- Bah si justement parce que j'avais préparé le petit déjeuner pour qu'on le prenne tout les deux sachant que d'habitude ils ne se lèvent pas avant 10h, Éduardo pour sur, après Cybèle je ne sais pas mais depuis que vous êtes elle se lève pas avant 8h30 donc on aurait eu le temps.
- Certe mais ce n'est pas grave habillés toi et rejoint moi dans la cuisine on prendra le petit déj tout les quatre et puis c'est tout.
- Mmh, si ça ne te dérange pas ça me va alors.
Je sorti donc de la pièce et alla dans la cuisine. Et, en effet la table est rempli pour plus qu'assez de personnes présentent dans cet appartement. Je vis Cybèle et Édouardo sur le canapé toujours en train de parler. Cybèle, qui était assise de façon à voir le couloir me vit arriver, alors qu'Éduardo, lui ne m'a pas encore vu. Cybèle se lève donc et vient me serrer dans ses bras. Chose qui me surprend, car, rares sont les moments où l'ont se fait des câlins. Mais, il faut l'avouer cela me fait du bien à moi aussi. Ne voulant pas rompre ce moment si important pour moi, je lui chuchota donc à l'oreille :
- Ça va? Tu veux qu'on aille parler?
C'est alors qu'elle releva la tête et que je vis qu'elle avait les larmes au yeux.
- Ne me dis rien, je vais chercher des sweet et on va discuter un peu dehors ça te vas ?
Elle me fit oui de la tête, je me précipita donc dans la chambre, j'entra sans même prendre la peine de frapper.