L'arrivée

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Nous avons fini le film après deux heures de route. Je vois Édouard qui commence à fatigué.
-Édouard dès que tu peux t'arrêter, arrête toi je prends le relais du volant.
-Pourquoi je ferais ça? Ça va faire six heures que l'on est partis tu ne m'as pas adressé la parole depuis près de quatre heures et tu voudrais que je te laisse le volant !
-Oui Édouard, vraiment, s'il te plaît, j'ai besoin de me changer les idées et la tout de suite maintenant il n'y a que conduire qui pourras me faire du bien.
-Ok, d'accord, mais je monte à côté de toi.
-Si tu veux, vois ça avec Cybèle.
Cybèle accepte bien que retissant à l'idée de me laisser devant avec lui. Dix minutes plus tard il s'arrête enfin. À peine le moteur coupé, que je descend de la voiture et fit le tour. Édouard eu à peine le temps de sortir que j'étais déjà en train d'ouvrir la porte pour qu'il sorte. En deux temps, trois mouvements j'étais prête à prendre la route. Une fois qu'il s'est attaché je pus prendre la route. Édouard m'a gentillement laissé son téléphone pour l'itinéraire. A peine cinq minutes plus tard il s'est endormi, preuve qu'il avait besoin de sommeil et d'arrêter de conduire. Il eu un sommeil agité, il n'arrêta pas de gesticuler et de marmoner des tumeur incompréhensible. Mais il réussi a dormir tout de même durant 1h. Pendant ce temps nous parlons avec Cybèle de tout et de rien, quand tout d'un coup Édouard reçu une notification d'une certaine Élodie. C'est un message. Je ne devrai pas. Ça ne se fait pas. Mais c'est plus fort que moi. Je vérifie qu'il dort bien. Il a l'air. Je regarde donc le message.

De : Élodie

Coucou mon doudou, je venais juste au nouvelle parce que depuis que tu es parti en Espagne je n'ai eu aucune nouvelle et contrairement au début de ton voyage tu ne poste plus de storie. Tu me manques.
Ta petite Éloïse chérie ♡

Ce message me fit sortir de mes gonds, mais je ne le montre pas. Est-ce sa copine ? Une simple amie ? Il faut que j'arrête de penser cela. J'enlève donc le menu déroulant et me reconcentra sur la route. Ma conduite est cependant plus nerveuse et Cybèle le remarqua et elle me le fit comprendre.
-Aliénor calme toi un peu s'il te plaît. Pourquoi tu t'énerves comme ça ?
-Je ne suis pas énervée.
-Mytho, t'étais détendue il y a même pas 10 minutes et maintenant t'es toute crispée. Qu'est ce que t'as vu ?
-Rien c'est bon tout va bien.
-À qui tu veux mais pas à moi Aliénor, donc veux tu bien me dire ce qui t'as contrarié d'un coup.
J'allais lui répondre quand je senta une main se poser sur mon genou. Pas besoin. De regarder pour savoir à qui appartenait cette main. Mais malgré cela mon passé refait surface et je lui pris la main pour la dégager le plus rapidement possible. Je vois du coin de l'œil qu'il n'est pas satisfait de ma réaction. Mais je vois également dans le rétroviseur Cybèle qui ne réagi pas à ce que je viens de faire. En effet, elle ne réagi mais elle me fit quand même comprendre qu'il faut que je fasse abstraction de mon passé. Je me reconcentra sur la route et me renfermant sur moi même.
Il nous reste 1 heure de route avant d'arriver à la clinique. Je ne la vis pas passer, tellement que Édouard et Cybèle se s il ne endormi. Lorsque nous arrivons au rond point de Girac je les réveilles. Cybèle réagi la première.
-Enfin, nous sommes arrivés !
-Oui, on va pouvoir voir Al !
-Pourquoi ? On est arrivé ? Nous interrompt Édouard.
-Oui, on va devoir se quitter. Dis-je sur un ton qui exprime un soulagement ~qu'il ne semble pas comprendre vu son regard.
-On pourrait parler Aliénor une fois qu'on sera arrêtée.
-Non, désolé Édouard on pourra pas. J'ai besoin de voir Aldérique.
-Oui, je te comprend. Bah je t'attendrais devant l'hôpital alors. Je me débrouillerai pour dormir. Je vais trouvé un hôtel ou quoi.
-NON, ÉDOUARD. VRAIMENT J'AI PAS ENVIE LÀ. Et puis les garçons ne nous ont pas suivi jusqu'ici pour rien.
-C'est vrai. Mais il faudra qu'on parle à un moment ou un autre parce que j'ai des chose à te dire.
-Comme le fait que tu est en couple.
-Non, bien sûr que non sinon je n'aurais jamais fais tout ça !
Je fini par trouver une place. Kylian et Éduardo se mettent pas trop loin de nous. Nous les rejoignont à leur voiture je fit une longue étreinte à Kylian et le remerci encore. Je voulu faire de même avec Eduardo mais celui ci enlacé ma meilleure amie comme si c'était la dernière qu'ils se voyaient ~ce qui était fort probable. Donc pendent ce temps je fis la bise à Édouard, j'allais me retourner poir partir mais il m'attrape et me serre dans ses bras je me laisse faire mais je ne répondi pas à son câlin. J'allais peut-être le regretter mais pour l'heure je susi énerver contre lui je ne sais pas qui est cette Éloïse à qui il manque tant et je veux voir Aldérique !
Trente secondes plus tard ~qui me semble durer une éternité~ il me lâcha et je me retourne vers Éduardo qui avait enfin lâché Cybèle je m'approche donc de lui et lui dit au revoir avec une légère étreinte. Après ces au revoir nous allons a l'accueil de l'hôpital et je vis Cybèle pleurer. Je m'arrête donc en plein milieu du hall etlui demande ce qu'il se passe.
-Je crois que je me suis un peu trop attachée à ton joueur de foot Aliénor. Je ne voulais pas le quitter.
-On va les revoir j'en suis sûre ! Ne t'inquiète pas pour ça.
-J'espère.
-Maintenant montons voir Aldérique. Il a besoin de nous.
-Oui, allez, on y va.
Nous nous avançons donc vers l'accueil et demandons la chambre 416 où se trouve Aldérique Martin.
À cela la femme nous répondit :
-Oui en effet, mais il ne souhaite avoir la visite de personne mise à part ses parents, ses sœurs et une certaine Aliénore Joube.
En guise de réponse à cela nous lui montrons nos carte d'identité et elle nous accompagne donc à la chambre.
Lorsque nous arrivons devans celle ci je m'arrêta. Je regarde la porte puis Cybèle et mon corps ne voula pas entrer dans cette pièce. Pourtant j'avais envie de voir mon frère de cœur, mais je resta clouer sur place. Il fallut que Cybèle me prenne dans ses bras pour me calmer et que l'ont puisse enfin rentrée. Une fois dans la chambre je courrue vers Aldérique et le pris dans mes bras. En même temps nous soupirons :
-Al..
À ce moment là il s'effondra en larme dans mes bras tout en me disant :
-Si seulement tu savais comment je peux la détester, c'est une vraie pute. Elle a voulu me tuer juste parce que je l'ai quittée ! Tu te rend compte !
-Al, calme toi. Ça sert à rien de se mettre dans cette état là pour elle.
Il ne dit plus rien et je senti sa respiration se calmer. Je voulu donc me retirer un peu mais il reserra son étreinte. Je regarde donc Cybèle qui était à deux doigts de pleurer et lui fit signe de se joindre à nous. Parce qu'après tout c'est son frère et pas le miens. Elle nous rejoint donc sur le lit et nous prit dans ses bras. C'est alors que je décide de m'éclipser discrètement pour les laisser tout le deux. Une fois réussi à sortir du lit malgré qu'Aldérique ai essayé de me garder dans ses bras, je vais voir leur mère, que directement je pris dans mes bras.

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