Dimanche - 02:00
On se trouve avec ma pote en bas à fumer des clopes
Alice:
-J'ai trop envie de retourner danser. Ici c'est trop calme.Moi:
-Peut importe où je vais, c'est pas assez calme. Alors go, jte suis.J'en avais marre. Il y'avait une bête de connexion entre lui et moi mais aucune vraie opportunité...alors je remonte prendre mon sac pour partir.
Quand je redescends. Il y a six personnes devant la porte principale qui attendent un Über mais pas d'Alice en vu. Je check mon téléphone.
Encore un nouveau tour de passe passe de sa part... Alice:
*Prends ta chance meuf!*Je sens une personne qui s'est mise juste à côté de moi.
Djilsi:
-Alors on va où?Moi:
-En boîte mais je crois que je vais y aller en vélo...Flemme d'attendre un Uber.Djilsi:
-Tu vas en vélo jusqu'à la boîte? ...Non seulement il fait nuit mais en plus de ça tu connais pas le chemin...Je lui montre le deuxième vélo.
Moi:
-Tu m'escortes?Il monte dessus mais il a l'aire beaucoup trop grand pour. Ça me fait hurler de rire. Il me course en criant d'arrêter de rire de lui. Il me fonce dessus pour me faire tomber. Ça se voit qu'il ose qu'à moitié me bousculer. J'en profite pour le pousser à mon tour. Je réussi à le faire tomber, presque trop bien que je m'en veux. Il est parterre et il semble s'être fait mal. Une fois que je me suis rapprocher de lui pour savoir si tout allait bien. Il en profite pour me courser... pour quelqu'un qui c'était fait "soi-disant mal" il courrait bien vite. Je cours pour remonter sur mon vélo mais il m'attrape par la taille et m'arrache de ma siège. Je m'échappe et tappe mon meilleur sprint dans la rue.
02:30
Après 20 minutes de chemin, il s'arrête et l'aire de rien me dit, Djilsi :
- C'est là que j'habite, lieu incontournable de la ville rose.
Moi :
- Je voudrais surtout rien loupé de Toulouse.À l'audace, je décide de poser mon vélo contre le mur. C'était maintenant où jamais.
Djilsi :
- Après tout, il faut que t'en garde un bon souvenir, non ?Il dépose le sien à côté du mien et nous rentrons tout les deux dans son bâtiment.
Dans l'ascenseur, je me mets du côté des boutons d'étage. Il se penche vers moi, appuie sur le numéro de son étage et m'embrasse dans le creux du coup. Il recule pour s'appuie contre la parois face à moi. Me regarde de bas en haut. Je m'approche de lui et glisse mes doigts dans son futale, me tirant un peu plus proche de lui mais je ne fais pas les derniers centimètres. Il m'attrape par le coup et me plaque contre le miroir de l'ascenseur. Je sens son souffle s'accélérer, son corps chaud contre le mien. Il pose son autre main par dessus mon string et fait des mouvements fort et circulaire.
Les portes de l'ascenseur s'ouvrent, on est arrivé à son étage mais rien n'y fait on est plongé dans le moment. Il m'attrape la cuisse, la soulève pour s'approcher encore plus de moi. Ma poitrine collée contre son torse et sa queue dure, beaucoup trop d'ailleurs pour que son pentalon contienne son désire. On s'embrasse sauvagement. C'est à la limite du comportement animal. Son téléphone sonne comme un bruit de fond. Je me frotte contre lui. Passe mes doigts dans ses cheveux. La température monte de plus en plus dans cet espace clôt. Je glisse mes mains sous son t-shirt et sens chacun de ses abdos se dessiner à travers mon toucher, puis les passent dans son dos. Il me mordille l'oreille et je ne peux me retenir de faufiler ma main sous son jeans pour lui la attraper. Il me mords dans le coup. On semblait ne plus savoir se contrôler. Nos ébats n'allait jamais arriver jusqu'à chez lui, sa devait se passer maintenant. Comme une soif qui ne pouvait être assouvie.
Mon téléphone commence à sonner. Je fais comme si j'entendais rien. Car je ne voulais rien d'autre que lui.
Les portes de l'ascenseur se referment. Il me lève la robe et passe sa mains sous mon string, déjà trempé de plaisir. On ne pouvait plus attendre. Il me glisse deux doigts et j'ai qu'une hâte, qu'il me la mette. L'ascenseur reste les portes fermées, statique à son étage.03:00
On se fait interrompre par nos téléphones une nouvelle fois qui sonnent encore et encore. Sonnerie d'appelle, messages. C'était devenu inquiétant.
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Temps mort
FanfictionTu fais la rencontre d'Alice en Belgique, où tu vis. Elle t'invite chez elle, l'été d'après, à Toulouse. Dans la queue d'une boite de nuit tu croises le regarde de Djilsi. Que pourrait-il se passer ?