Du couloir de la chambre, le bureau, le lit en passant par la salle de bain, je voulais qu'avec lui on le fasse absolument partout.
Il se recule, prends son téléphone et le met sous silencieux.
Sidjil:
Maintenant plus rien ne pourra nous déranger.Moi:
Je vais prendre mon temps alors pour savouer chaque centimètre... De ton corpsSidjil:
... Je dois te dire quelque chose quand même avant...Moi:
Bien sur dit moi!Sidjil:
L'autre compte que j'ai fait pour te parler c'était pas juste comme ça.Moi:
Tu voulais être sur que j'étais pas bizarre ? JcomprendsSidjil:
Non. Enfin oui, aussi. Mais je te kiff vraiment. Je sais qu'on vit loin et tous ça et jte demande rien. Je veux juste que tu saches que oui tu m'attire mais surtout parce que t'es une femme formidable. Tu me fais vraiment un truc de plus que les autres.Moi:
J'en perds mes mots... Toi aussi, j'ai pas pu arrêter de penser à toi depuis qu'on s'était vu. On a pas la même vie mais j'aime trop passé du temps avec toi et plus de temps si on peut. Sans se prendre la tête juste du kiff.Sidjil:
T'as tout dit. Maintenant si tu permets...Il passe derrière moi, se colle contre moi, passe sa main le long de mes hanches et l'autre la glisse autour de mon cou. Il me tire vers lui d'un coup sec.
Me chuchote à l'oreille, Sidjil:
Laisses-toi allerSous ses paroles je fonds, mes jambes lâchent presque à la fin de sa phrase.
Il glisse sa main dans mon simili. Je suis déjà trempée. Il sourit
Sidjil:
Je vais te faire jouir tellement fort qu'on va nous demandé de quitter l'hôtel.Il me retourne et me soulève pour m'amener jusqu'au lit.
Je le contemple, il est là debout et me reluque de bas en haut avec le même regard que la première fois au bar. Il est beau, grand, bien musclé et terriblement drôle... Que pouvais-je demander de plus.
Moi:
Enleve ton t-shirtLui sans discuté il exécute ma demande.
Je le vois enfin là dans la même pièce que moi et pas derrière un stupide écran... Son corpppppps, mais sauvez moi ! Tellement magnifique. Je commence à rougir.
Sidjil:
Qu'est ce qui t'arrives ?Moi:
Rien... Rien du toutSidjil:
T'es rouge comme le coup de soleil que j'ai choppé l'été passé.Moi:
Mais tu t'es déjà vu dans un miroire ?!?!Sidjil:
T'as envie qu'on éteint la lumière princesse ?Moi:
Ah non ! Ma tête de crustacé ça va partir mais les souvenirs que jvais garder de la soirée, je les veux gravés dans ma mémoire.Sidjil:
Alors qu'est ce que t' attends pour enlever ton haut ?Je l'enlève et lui, en même temps, me retire mon pentalon. Je défais sa ceinture et ne peut attendre je la touchée à nouveau. Il baisse son jean, met une capote et me la met sans attendre. Je pousse un gémissement, impossible à retenir. C'était trop bon. Nos corps qui s'enlacent. Je sentais chaque coup de reins comme si c'était le premier. Son regard se plissait de plaisir. Je bouge mes hanches pour augmenter encore plus le kiff. Je m'accroche à lui comme je pouvais mais cette baise est tellement bonne que je tremble comme jamais. On s'embrasse, on se lèche, on se caresse. J'avais envie de le manger. Il sent en plus de ça terriblement bon. Je passe mes mains le long de ses bras musclés, tendus au dessus de moi,congestion nés...
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Temps mort
FanfictionTu fais la rencontre d'Alice en Belgique, où tu vis. Elle t'invite chez elle, l'été d'après, à Toulouse. Dans la queue d'une boite de nuit tu croises le regarde de Djilsi. Que pourrait-il se passer ?