La neige qui virevolte par la fenêtre,
C'est pour elle que j'écris ces lettres.
Tranquille dans sa danse folle ;
Comme des soucis qui s'envolent.Chaque flocon à son rythme,
Sur la vie dépose un filtre.
Une douceur, telle le coton,
Une splendeur donnée à foison.Pourtant ma mélancolie reviens,
Je n'arrive pas à me défaire de ce refrain.
Retour dans cette boucle infernale,
De ce spectacle, j'attends le final.Mais ça recommence, encore et encore,
Ça me suivra peut-être jusqu'à la mort.
La lumière de l'espoir atteint mes yeux,
mais elle reste toujours aussi loin qu'elle le peut.Cette douleur intense, dont je ne sais me défaire,
Dans ce combat intense, ce long bras de fer.
Mes mots sont une bouteille, jetée à la mer,
Je ne sais pas si un jour elle touchera la terre.Je te vois danser, à travers la vitre glacée,
Je me sens libérée, comme si le temps n'existais pas.
Pas de peur ni de doutes, sentiment de liberté,
Éphémère moment où le doute ne me parle pas.
Un silence malgré le bruit ambiant.
Un moment où le temps est inexistant.

VOUS LISEZ
En trois Temps ...
PoesíaAvant, maintenant, après... Passé, présent futur... L'homme évolue à l'aveugle, suivant ses rêves et ses espoirs, ses craintes, essaye d'esquiver ses cauchemars. L'homme qui écrit conserve ce chemin. Il écrit pour évacuer, faire le tri, il semble fa...