Cela fait longtemps, qu'en regardant le ciel, ma main ne recouvre plus mes yeux.
Cela fait longtemps que je n'observe que ces nuages au gris pluvieux.
Je ne peux observer ce coton grisonnant plus longtemps, la pluie est de retour,
Et elle ruisselle sur mon corps, jusqu'à mon cœur, sans aucun détour.
C'est alors qu'arrive l'orage, seule chose qui m'éblouit
C'est alors qu'arrive la rage, la rage face aux défis
Le jour et la nuit, s'entremêlent, puis les nœuds se défont
Le tonnerre gronde et fait perler les fronts
Alors de ma main, je couvre mes yeux, dans l'obscurité pour échapper aux ténèbres.
J'attends la lumière, les yeux fermés, j'attends son souffle chaud sur ma peau.
J'attends l'astre solaire se réveille enfin, que je ressente enfin la célèbre fée céleste,
Je veux quitter le froid de l'humidité, pouvoir rêver des contes et des châteaux.
Retourner en enfance, ce bonheur temporaire, ou même les nuages étaient le soleil,
A la chaleur douce du coin du feu en hiver, un thé à la main , la voix de nos aînés.
A la tendresse d'un coton coloré d'une aurore ou une aube rosée et vermeille :
Retourner dans cette odeur sucrée, du miel, des fleurs et voir les perles de la rosée.
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En trois Temps ...
PoetryAvant, maintenant, après... Passé, présent futur... L'homme évolue à l'aveugle, suivant ses rêves et ses espoirs, ses craintes, essaye d'esquiver ses cauchemars. L'homme qui écrit conserve ce chemin. Il écrit pour évacuer, faire le tri, il semble fa...
