Apparement, ce que j'écris est beau,
En fait ; je pourrais pas te dire si c'est vrai ou faux.
Les mots sont une épée, je le crie tout haut,
Mes pensées, je m'y noierais si c'était de l'eau.J'sais pas pourquoi j'écris, à par pour me comprendre :
C'est une question de survie, pour ne pas finir en cendres.
J'ai peur de m'effondrer, emportant dans ma chute,
Toutes les personnes qui m'ont aidées, soutenue dans ma lutte.Un combat contre moi même, un combat quotidien,
Et si je te dis que parfois je me demande, si c'est un jours sans fin.
Et cette mélancolie ,éternelle source de mes écrits ,
Ne se taris pas, même lorsque je souris.On m'a déjà dit qu'on voyait quelque chose dans mes yeux,
Quelque chose que l'on peut décrire, plus puissant qu'un feu.
Un signe presque invisible de mes souvenirs cachés ;
Une sensation de douleur, que je n'sais pas effacer.Je tiens la lame de l'épée dans ma main, sans en sentir la brûlure,
De cette lame tranchante dans ma main que l'on nomme écriture,
Car l'écriture ne touche pas le corps, elle touche l'esprit.
Et telle un bouclier elle me préserve l'esprit, m'empêche de tomber dans la folie.

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En trois Temps ...
PoesíaAvant, maintenant, après... Passé, présent futur... L'homme évolue à l'aveugle, suivant ses rêves et ses espoirs, ses craintes, essaye d'esquiver ses cauchemars. L'homme qui écrit conserve ce chemin. Il écrit pour évacuer, faire le tri, il semble fa...