𝐄𝐏𝐈𝐋𝐎𝐆𝐔𝐄

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—    S  A  N  S    M  A  N  I  E  R  E  S    —

—    S  A  N  S    M  A  N  I  E  R  E  S    —

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           TEL UN VENT DE PRINTEMPS, la joie est apparue.

           Debout devant la double-porte, habillée d’une élégante robe blanche mettant en valeur chaque centimètre de ma personne, je me sens briller. Devant moi, deux colonnes de rangées s’étalent, peuplées d’élèves, proches, professeurs et même journalistes. Nous avions d’abord pensé à une cérémonie privée mais la perspective de pouvoir crier notre amour au monde après avoir été contraints de s’exiler pour le vivre était trop alléchante.

           Au bout de l’allée que je m’apprête à traverser, une arcade se trouve. Fleurie, elle s’harmonise avec la vaste salle aux murs de bois et la délicate lumière la baignant. Sieg s’y tient, habillé d’un impeccable costume brun.

           Ses yeux s’écarquillent en me voyant. Un sourire étire mes lèvres. Une douce mélodie s’élève.

           Là, les yeux de l’assistance se tournent vers moi. Mais je ne m’en préoccupe pas. Mon regard est irrémédiablement attiré par Sieg, sa silhouette, les larmes embuant ses yeux, la beauté de l’amour qu’il me porte dans sa simple façon de se tenir devant moi.

           Mon chemin jusqu’à l’autel semble être à la fois immédiat et infini. Car j’aime me perdre dans cet instant. Mais je brûle d’impatience de le rejoindre.

           Seule dans cette allée. Sans personne pour me guider jusqu’à lui.

           Car il a été mon seul phare dans la tempête de ma vie.

           M’arrêtant à sa hauteur, j’observe son sourire ému et rit légèrement, les yeux embués de larmes. C’est différent de la première fois. Aujourd’hui, nous nous sommes investis dans cette journée car c’est dans cette même ville que nous avons toujours voulu vivre.

𝐒𝐀𝐍𝐒 𝐌𝐀𝐍𝐈𝐄𝐑𝐄𝐒 (sieg x reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant