Chapitre 36

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De retour devant le manoir c'est main dans la main qu'ils ouvrirent la porte.
Des cris de joie se firent entendre depuis le salon. Surpris ils s'y dirigèrent rapidement. Ils se stoppèrent devant la scène qui se déroulait sous leurs yeux.
Maïa jouait avec son grand-père Lucius.

Lucius : Ah vous voilà enfin !

Maïa se tourna vers la porte et sourit.

Maïa : Maman ! Papa !

Elle courut les retrouvés.

Drago : Père que faites vous là ?

Lucius : Je suis venue veiller sur ma petite-fille. Je ne reste que pour la nuit je repars demain avec Elphias.

Maïa : Oui papa, papi Lucius est arrivé dés que t'es parti.

Drago : Vous considérez vraiment Maïa comme votre petite-fille ?

Lucius : Eh bien c'est le cas non ?

Drago était confus, c'était la première fois que son père avait l'air souriant depuis le décès de sa mère.

Lucius : Elle ressemble tellement à ta mère Drago. Comment ne pas l'aimer.

En souriant Drago récupéra à la hâte un essuie qu'il donna à Hermione.

Drago : Va vite te changer.

Elle n'avait pas bougée tant elle était attendrie, sa fille était acceptée par Lucius.
Mais il y avait toujours une ombre au tableau, Milicente.
La nuit était avancée quand Drago décida qu'il était temps que tout le monde aille au lit.

En arrivant dans la chambre, Drago ne pus résister a l'envie d'embrasser Hermione quand il referma la porte. C'est avec une envie non dissimulée qu'elle répondit franchement au baiser.

Drago : Tu m'as tellement manquée.

Il passa ses mains sous son haut en l'a poussant sans ménagement sur le lit.

Hermione : Dray, attends je dois te parler.

Drago : Plus tard ma lionne.

Il l'embrassa dans le cou se délectant de ses réaction, elle frissonnait de toute part pour le plus grand plaisir de l'homme.

Hermione : Mais c'est important.

Il lui retira son tee-shirt ainsi que son soutien-gorge.

Drago : Demain je serais tout ouïe, mais ce soir je veux profiter pleinement de toi.

Il continua sa ligne de baiser jusqu'à son ventre. Elle gémissait son nom.
Soudain la sonnerie d'un portable se fit entendre coupant court à leurs moments. Drago grogna en plongeant sa main dans la poche de son pantalon.

Drago : C'est Milicente.

L'évocation de ce nom refroidit directement Hermione qui remis son tee-shirt en s'éloignant du blond.

Drago : Ne bouge pas.

Il lui attrapa le poignet l'empêchant de fuir.

Conversation téléphonique :
Allô Milicente qu'est ce que tu veux ?... Il est malade... Non c'est bon... Mais il est tard... T'as des médicaments ?.... Si tu n'y connais rien... J'arrive mais pas seul... Oui je l'emmène elle saura quoi faire... C'est ça où rien !...

Il raccrocha et regarda Hermione avec un regard implorant.

Drago : Léo est malade et Milicente ne sait pas quoi faire, j'aimerais que tu viennes avec moi.

Hermione : Je ne pense pas que ce soit une bonne idée...

Drago : S'il te plaît tu as su t'occuper de Maïa. Tu sauras soigner Léo.

Hermione : ...D'accord je vient avec toi.

La nuit fut longue pour Hermione, Milicente était froide mais son fils était brûlant de fièvre. Et ce qui l'énerva c'était la proximité avec SON petit copain. Elle ne s'inquiétait même pas pour son fils.

Finalement le matin Léo n'avait plus de fièvre, il se sentait mieux. Hermione avait veillée à son chevet toute la nuit sans se reposer alors que Milicente était avachie contre Drago profondément endormie.
La colère monta en elle devant cette scène. Sa vengeance allait être terriblement, digne de Salazar Serpentard lui-même.

A suivre

Il a ton sourire (dramione)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant