Mystery of the Guillotine Killer (FrUK)

11 (onze)

"Si fort, Arthur, vas-y doucement avec moi."
"Désolé, j'ai juste..... j'ai une théorie, et ce que je veux vous demander va la prouver.... bien, en quelque sorte"

"Je vois.... me demande n'importe quoi alors."

"Pourquoi ne vouliez-vous pas que Lucile et son mari se marient ?" J'ai demandé. Je l'ai regardé, son visage s'est baissé lentement. "Toujours à propos de ça ? Qu'est-ce qui t'arrive ?" Il a demandé nerveusement. "S'il te plaît.... réponds juste", je l'ai supplié. "D'accord... bien", a-t-il dit lentement. Francis s'est redressé, me regardant avec un sourire. Il avait l'air si triste et troublé. Bien sûr, il l'était ; ce qui s'est passé entre sa sœur et lui est terrible.

"Ils se sont mariés il y a presque deux ans, mais depuis, je n'ai vu que l'enfer. Quand ils ont commencé à sortir ensemble, il me menaçait, je ne voulais pas le dire à Lucile parce qu'elle semblait si heureuse, mais je savais qu'ils n'étaient pas faits l'un pour l'autre." Il a commencé. "Les menaces.... à quel point étaient-elles mauvaises ?" J'ai demandé.

"Il menaçait de la blesser si j'essayais de les séparer. Il la manipulait quotidiennement, et elle était trop tête en l'air pour s'en rendre compte."

"Comment se fait-il que vous ne l'ayez pas signalé ? La police l'aurait sûrement arrêté pour comportement violent."

"Oui... mais il aurait juste nié ; il n'y avait aucune preuve physique. Tout ce qu'il a fait, c'est me menacer, et elle... juste derrière son dos, quand je lui en ai parlé, elle ne m'a pas cru, elle a pensé que j'étais fou de toute cette situation... c'était un peu décevant ", il a posé une main sur son front, fatigué. "Je l'interroge demain... au poste... je m'attends à ce qu'ils se montrent, et s'ils ne le font pas, j'ai ce dont j'ai besoin... je suis sûr que Lucile s'en rend compte".

"Quoi ? Qu'est-ce que tu veux dire ?" demanda Francis. "Désolé, mais je te ferai savoir bientôt ce que cela signifie. Je veux juste m'assurer que tu es près de moi à tout moment. Je ne veux pas que tu sois blessé", lui ai-je expliqué. Il m'a regardé avec méfiance avant d'accepter ma réponse. "Alors continue ; que s'est-il passé ensuite ?" J'ai demandé. "Ahhh... eh bien, il a demandé à l'épouser le même mois qu'ils se sont mis ensemble ; je savais pertinemment que la relation était toxique, alors j'ai fait de mon mieux pour essayer de la convaincre de trouver quelqu'un de mieux ; bien sûr, ça n'a pas marché."

"Hmmm.... à votre avis, pensez-vous qu'il aurait pu l'influencer à.... commettre un crime ?" J'ai demandé. S'il te plaît, ne pense rien de la question, s'il te plaît, ne pense rien de la question, S'il te plaît, ne pense rien de la question. "Eh bien..... sachant le type de personne qu'il a été derrière son dos... je ne doute pas qu'il l'influencerait de cette façon. Il est manipulateur," une fois qu'il a dit ce dernier mot, un orage a commencé dehors. Ça m'a fait un peu peur, mais Francis sait de quoi il est capable, et je vais devoir le découvrir vraiment demain.

"Je vois.... me faire une faveur. J'aimerais que notre relation reste secrète, alors fais de ton mieux pour faire comme si nous n'avions aucune relation l'un avec l'autre,"

"Relation ? Alors on sort vraiment ensemble..... bien, je suppose que c'était une question de temps."

"Non ! Je veux dire, comment on se connaît."

"Bien sûr", a-t-il dit en riant. Je me suis retournée pour le regarder, agacée, en secouant la tête. "Pour votre sécurité, j'aimerais que vous agissiez de cette façon", ai-je ajouté. "D'accord, très bien, comme vous voulez, détective Kirkland" il a souri en faisant un salut.

"Merci ; je voulais vous demander à propos de votre amant décédé... si cela vous convient ? ...."

"Ahh...pas d'inquiétude, je suis d'accord pour en parler. Nous ne sortions pas ensemble depuis longtemps, peut-être deux semaines. Je me sens mal de penser ainsi, mais sa mort ne m'a pas vraiment affecté car je ne la connaissais pas depuis longtemps et nous n'étions pas ensemble." Il a dit tristement, en regardant vers le bas. "C'est bon... Je veux connaître sa relation avec ta sœur", ai-je dit doucement. Je devais faire attention à ce que je disais et je ne voulais pas être impoli.

"Lucile la détestait ; je suppose qu'elle voulait passer sa colère sur elle après que j'ai refusé de les laisser se marier. Lucile lui disait des choses grossières ou, parfois, la bousculait. J'ai essayé de la faire cesser, mais elle ne l'a jamais fait.... jusqu'au jour où Maria a été assassinée, Lucile a agi de la sorte. Quand elle est morte, Lucile ne m'a jamais demandé comment j'allais, ou si j'allais bien, j'étais le croque-mort, donc j'ai dû travailler sur son cadavre.... c'est la seule fois où j'ai redouté mon travail."

"Je suis désolé d'entendre ça", j'ai parlé lentement. "Le jour avant sa mort, pouvez-vous me l'expliquer ?" J'ai demandé. Il avait dû se passer quelque chose ce jour-là qui avait conduit à son meurtre. "Eh bien.... elle et Lucile ont eu une autre dispute, mais cette fois, Maria lui a répondu quelque chose. Je les ai séparées, mais Maria la détestait de tout son être", a commencé Francis. Ses mots m'ont choqué. Bien sûr, elle aurait été assassinée le jour suivant. Lucile me rendait la tâche trop facile en ce moment. "Tout va s'arranger, Francis, je te le promets."

"Je le sais.... c'est parce que la France a quelqu'un comme vous qui travaille sur cette affaire. Je vous demande d'être prudent ; qui sait si vous ne serez pas pris dans quelque chose... encore. Arthur, j'ai hâte de travailler avec vous et de devenir plus proche en tant qu'ami. Je le pense vraiment, et cela m'effraie de savoir que vous risquez votre vie tous les jours", a-t-il dit. Mes yeux se sont élargis à ses mots et je lui ai souri doucement. "Je résous beaucoup de cas comme celui-ci chez moi, ne t'inquiète pas, je te promets.... tout ira bien, Francis."