Le café - Halloween

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La pluie tombait à grosses gouttes quand je suis rentré dans le café ce jour là, je tenais ma veste au dessus de ma tête pour éviter de finir trempé comme ces courageux collégiens sans parapluies.

Un beau serveur me sourit et me montra une table. Son expression décontracté réchauffa ma peau mordue par le froid. Je m'installa à cette table et commanda un grand latte pour réchauffer mes mains gelées. 

Le serveur m'ayant sourit quand je suis entré arrive vers moi avec mon café sur son plateau, je pus le voir de plus près : il avait des cheveux blonds mis-longs, de beaux yeux verts surmonté de longs cils et ses canines étaient légèrement pointues. Il se pencha et déposa ma commande sur la table avec un sourire. 

Alors que je dégustais mon latte on observant ses vas et viens dans toute la salle, il revint vers moi et s'assis sur la chaise en face. Il me dit que c'était l'heure de sa pause et que, enfin, il avait trouvé quelqu'un d'intéressant avec qui converser.

Il était facile de parler avec lui, il n'y eut si blancs ni gêne. Quand ce fut la fin de sa pause, il me donna l'heure de la fin de son service afin que : j'ai l'intérêt de l'attendre afin de continuer cette conversation alors qu'il me raccompagnait chez moi. J'accepta avec plaisir, ses jolies fossettes y étaient pour beaucoup je dois l'avouer.

Dès la fin de son service, il se changea et vint me retrouver. Nous sortîmes tous les deux et sur le chemin du retour j'en appris encore plus sur lui et inversement, la pluie s'était arrêtée et les pavés humides dégageaient cette incroyable odeur d'après l'averse. Arrivés devant chez moi, il se pencha, mais au lieu de s'arrêter sur mes lèvres, sa bouche finit dans mon cou ou je sentit une légère morsure. il se recula et me fit un clin d'œil avant de lécher le coin de ses lèvres.

Je sentis un sourire se dessiner sur mon visage, je n'étais pas effrayé, loin de là. Il était là, devant moi, alors je me mis sur la pointe des pieds et déposa finalement un baiser sur ses lèvres au goût métallique. Je le sentis sourire contre ma bouche, il n'y eut pas besoin de mots ou de batifolages, je l'invita directement à monter chez moi. Après tout, à Halloween tout était possible. 

Mais à la place de bonbons je n'avais récolté qu'un sort, un sortilège puissant et indescriptible, le coup de foudre, 438 mots. 

Cette histoire est (très) niaise, mais j'ai pris énormément de plaisir à l'écrire, je devrais approfondir le thème vampirique.

Mes mots en désordre, HalloweenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant