39.

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Ethan.

Ce jour que je ne voulais pas fêter, ce jour
j'ai découvert la vérité, elle l'a rendu magique.
Sa présence seulement a fait de ce jour, le jour le plus heureux de ma vie.

On se détache l'un de lautre, elle me regarde droit dans les yeux comme si elle voulait me dire quelque chose.

-T'as quelque chose à me dire ?

-Regarde au fond de la boîte. dit-elle rougissant.

Au fond de la boîte ?

-Qu'est ce que c'est ? Une enveloppe ?

-Ouvre.

J'ouvre donc l'enveloppe et la lis:

"oui."

Voilà, ce qui était écrit dessus.

-Qu'est ce que je suis censé comprendre, Miler ?

Me dis pas que c'est par rapport à la proposition que je lui faite ?!

-J'accepte, Vagner, j'accepte de vivre avec toi jusqu'à ce que les choses se calment.

C'est définitif, c'est vraiment le jour le plus heureux de ma vie.

-Je meurs d'envie de t'embrasser, Miler.

-Qu'est ce qui t'en empêche ? Fais le. Embrasse moi.

C'est ce que je fis. J'écrase mes lèvres sur les siennes.
Elle met sa langue dans ma bouche.
Putain, elle me rend complètement fou.
Je la porte pour venir enrouler ses jambes autour de moi.

-Pourquoi est ce que tu t'arrêtes ? Continue, Vagner...me supplie t-elle.

-J'allais continuer, beauté. Je voulais juste voir ton visage. dis-je m'attardant maintenant à son cou.

-Oh, Ethan, c'est trop...Je risque de tomber à force...dit-elle à bout de souffle.

Je la pose sur le lit me retrouvant au dessus d'elle.

-Tu me rends complètement fou, Miler. continué-je caressant le long de sa jambe.

-Alors deviens le encore plus. Ne vois que par moi, ne regarde que moi, ne fais ressentir ces choses qu'à moi. Ne laisse personne d'autre voir ce côté là de toi. avoue t-elle enroulant ses bras autour de ma nuque.

-Tu es la seule qui puisse voir ce côté, Miler. dis-je effleurant ses magnifiques lèvres.

-C'est de la torture...Ne joue pas avec moi...Je veux te sentir en moi...continue t-elle m'aggripant fortement.

Je sentais son cœur battre de plus en plus fort. Elle en avait envie comme moi j'en avais envie.
Je descends de plus en plus bas m'arrêtant à son intimité que j'embrasse délicatement.
Elle frissonne et se cambre. Mon dieu, qu'elle est belle.
Je la regarde se tordre de plaisir, putain Miler te voir comme ça est comme un rêve éveillé.

𝑅𝑎𝑖𝑛𝑏𝑜𝑤Où les histoires vivent. Découvrez maintenant