One Piece : Who's the king ?

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1 mois plus tard...

Une grande totalité de l'île fut mise en quarantaine pour excuse que les habitants étaient considérer comme malade. La vérité, c'est que les scientifiques et docs installés près du port prenait peu à peu les enfants de leur mère pour y faire de nombreuses expériences sur eux. D'abord c'était les hôpitaux, pis se fut directement en pleine rue.

Ce n'était que le début. Croyez-moi...

3 mois plus tard...

On est en milieu décembre et tous essaye de préparer les fêtes de famille. Et pourtant... La marine a eu l'ordre par le gouvernement mondial d'amoindrir les vivres réservés au peuple. Du moins pour ceux qu'ils n'acceptent pas d'offrir leur corps à la science.

A la surface c'était clairement une ambiance tendue. Des troupes de soldats circulent constamment dans les ruelles de l'île, contrôlant en permanence les identités des passants.

En bas, dans les égouts où les plus pauvres vivent marginalement et où les plus forts commençait à bâtir une nouvelle ville.

- Oi. Venez par-là, vous tous ! On doit vous dire un ou deux trucs !

- Que se passe t-il... ?

- Mon enfant, c'est notre pays celui qu'ils veulent mettre en poussière ! beugle un homme dans un microphone.

- Je n'en sais rien, allons voir...

- Attends papa nous a dit de pas nous approchez d'eux... !

- Rooh... Fait pas ta poule mouillée Lucie ! Ils ont trop la classe !

Dans des gravas de pierres est planter un immense drapeau noir de l'anarchie flottant dignement au milieu de la place cardinal des égouts. Un groupe de nombreux hommes et femmes à la carrure imposantes beuglaient pour ramener l'écoute de tous. Surtout les enfants, pour avoir des bras en plus d'une future révolution contre le gouvernement à la surface.

- Laisse cet enfant. Tu ne vois pas qu'il a assez souffert ?! hurla une mère, tirant l'enfant par le bras d'un coup sec.

- Ma sœur, c'est notre patrie ! Celle qu'ils veulent mettre aux enchères ! Pour faire taire les démentis et pousser l'ombre sur la lumière !

- Il a raison ! Je sais ce qu'il s'est passé à la surface ! En pleine rue ils abattent les gens pour l'exemple ! Et ceux surtout qui n'ont pas les moyens de payer la taxe des Dragons Célestes !

- C... C'est vrai... Qui peut approuver cette violence ? Sûr, dans leur bombe et leur démence... marmonna un adolescent. Ma sœur est morte sous mes yeux par un soldat ! Je vous rejoins dans c'combat !

- Exactement ! Le pouvoir est au peuple ! Liberté, révolution ! Qu'on soit dix mille ou des millions ! La force est dans la conviction !

- Liberté, je crie ton nom !

- Liberté, révolution !!!

- Pour nos enfants, nous marcherons !

- Liberté ! Liberté ! Liberté !

- Rejoignez-nous ! Plus nous serons nombreux, plus nous pourrons récupérer notre île ! Qui peut approuver cette violence et démence ?!!

- Nous face à l'injustice ! Soyons digne d'Humanité !

Dans un coin du haut de ses 10 ans, Zacka écoutait ce début d'émeute avec beaucoup d'attention, cacher dans la pénombre d'un tuyau d'évacuation des eaux usés accroché solidement au plafond, la capuche enfoncée sur sa petite tête et une batte en acier accrochée à une ceinture autour de son buste ; tenant dans ses bras un sac remplis de vivres.