// Lundi 23 Septembre 2014, Appartement de Riley, 10h00//
Un son strident me réveil de mon sommeil. Pourquoi c'est au moment où je suis à quelques centimètres de la bouche de David Beckame, que mon foutu réveil sonne. A croire qu'il sert à casser les rêves.
Après mur réflexion je décide de me lever ne voulant pas perdre la fin de matinée, pour regarder des dessins animées. C'est à cette heure là qu'ils passent les meilleures, genre Bob L'éponge. Bob l'éponge c'est la vie, pensais-je.
Je me prépare un bol de céréales et me pause devant la télé.
Après deux épisodes du dessins animer et deux bols de céréales je me résigne à me préparer pour aller faire les courses. Je ne souhaite pas mourir de faim.****
Chaussures mise, manteau sur les épaules je fais ce long chemin à pied jusqu'à l'épicerie, qui est en face de chez moi.J'allais pour prendre un panier mais une personne me devance.
"J'allais prendre ce panier, dis-je en le fixant droit dans les yeux -de beau yeux bleu-.
- C'est dommage je les pris, répond-il en jouant des sourcils.
- On ne t'a jamais apprit à être galant avec les femmes ?
- A parce que tu es une fille ? Il me regarde de haut en bas.
- Maintenant les filles non plus le droit de porter des joggings, de s'attacher les cheveux et de ne pas ce maquiller ? Exaspérant, m'exclamai-je."Il hausse les épaules et s'en va dans les raillons avec le panier, le mien en l'occurrence. Je décide de passer outre et de commencer à repérer ce qu'il me faut en attendant un nouveau panier.
****
Il est légèrement 14h00 mais il n'est jamais trop tard pour manger. Alors après avoir retirer l'eau des pâtes, je me sers et mange pour satisfaire mon ventre.
Une fois rassasié je débarrasse et décide de ranger l'appartement, Derek ne devrait pas tarder et, même s'il est mon frère et qu'il a l'habitude de voir mes vêtements un peu partout, je me dis que ça m'occupera.
Même pas 5 minutes après avoir tous rangé, on sonne à la porte. Je me précipite pour ouvrir et saute sur mon frère qui tombe littéralement à terre.
Nous n'avons pas toujours été proche, mais quand j'ai commencé à être au lycée, nous avons commencé a devenir vraiment complice, il a commencé à me protéger de tous et de rien. Je trouve ça assez mignon même si des fois j'aimerais qu'il me lâche la peau des fesses.
"Comment va la princesse Riley ? Demande t-il et je râle.
- Ne m'appel pas comme ça. Je ne suis pas une princesse, je réfléchis pendant quelques secondes. Je suis le palefrenier, rigolais-je.
- N'importe quoi, dit il en secouant la tête. Tu compte me faire rentrer ou me faire dormir sur le paillasson ?
- Ta l'habitude de dormir dans des endroits louchent je ne pense pas que ça ne te dérange de rester dessus, dis-je en me décalant le laissant passer."Mon frère est militaire, il ces engagé il y a deux ans quand j'ai finis le lycée. Il vit chez nos parents pour les voir souvent, mais il fait toujours un détour à New York pour venir passer, deux, trois jours avec moi.
"Mais c'est propre ici, c'est louche."
Je rigola il a ce dont de me faire sentir gamine quand je suis près de lui.
"C'est pas louche c'est juste que je range les choses quand je les déballe, je mens bien sur jamais je ne ferais ça.
- La menteuse, ta tous ranger avant que j'arrive c'est ça ? Ricana-t-il
- Comment oses-tu ? Me pense tu vraiment comme, ok d'accord tu m'as eu, souriais-je."****
Ce soir Derek ne peux pas rester il est donc parti vers 22h00, me laissant seul avec ce silence. La plupart des gens ça les effraient, moi je me dis que temps qu'il n'y a pas de bruit, c'est que tous va bien.
Je décide de finalement me coucher, car demain matin je dois me lever tôt pour rejoindre une amie à moi.
[cette fiction je la travaille depuis un certain moment, plusieurs mois pour être franche. J'avais dit a une abonnée que j'avais beaucoup de travail et donc que la prochaine fiction que je mettais, sera travailler, organiser. Plusieurs chapitres sont déjà écrient et relu, j'aurais donc plus cas mettre en ligne. Voila, je fais un bisou à celle que ce sera reconnu ;).]
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Trace ta route.
Romance"Attend, que fais-tu ? Criais-je. - Bah je m'installe dans mon taxis, dit-il le plus simplement du monde. - Non, c'est le mien, j'y suis entrer la première, alors sors de ce taxis ! M'exaspérais-je - Je ne bougerais pas. - Moi non plus !" Après quel...