Repousser la souffrance

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Luna:

Je me réveille tranquillement après avoir passer une bonne nuit. Je doit avouer que le lit de Carter est très confortable. Quand je me tourne il n'est pas là. Mais à laisser un mot sur son oreiller.

"Bonjour Tesoro,

J'espère que tu as bien dormis, je me suis réveillé avant toi alors j'ai préféré me lever pour te laisser dormir. Je me trouverai sûrement dans le canapé quand tu te lèvera.

Je t'aime
Carter "

Je fais un détour dans ma chambre avant de descendre. Je trouve Carter dans le canapé comme indiqué sur le mot. Ainsi que Léna et Tony. Je leurs dit bonjour puis m'assoie avec Carter. Il passe son bras derrière mon dos ce qui me fit frissonner. Il le remarque et met un plaide autour de moi.

Tony: Vous êtes mignon vous deux. Bientôt le mariage ! Si tu ne la marie pas je te tue Carter.

Léna: Amplement d'accord.

Carter: Je ne pense pas que Luna voudrait.

Il faut que je réponde à ça ! Eh merde.

Luna: ...je... je sais pas

Tony: C'est normal Carter est invivable.

Carter: Tu peux parler t'es carrément fous !

Tony: Moi fous ?

Carter: Oui, bref parlons affaires.

Léna: Oui, comment tu veux le tuer ?

Carter: Par surprise évidemment.

Tony: Bonne stratégie, mais trop compliqué on ne peux pas le localiser.

Carter: Oui je veux juste qu'il souffre.

J'affiche une petite grimace. Et ils pouffent tous de rire.

Carter: Je t'ai laisser des fruits coupes dans la cuisine Luna.

Luna: Il faut pas me le dire deux fois je vous abandonne. Salut Tony et Léna.

Je me sers un bol et y dispose les fruits dedans. Je me régale. Les fruits sont clairement toute ma vie. Je prend mon bol pour le débarrasser comme je tombe sur une enveloppe intitulé « Tesoro». Décidément il aime les papiers ! Je l'ouvre et y lit le contenu.

"Quand tu auras fini de manger, vas dans ma chambre entre dans mon dressing et pousse le mur qui n'a pas de meuble. "

Je monte sans réfléchir dans sa chambre puis entre dans son dressing. Je pousse le mur puis il s'ouvre enfin une porte incrusté dans le mur s'ouvre. Je pousse la porte pour mieux voir. C'est une salle peinte en vert avec des canapés et au milieux. Un piano. Les larmes me montent au yeux quand je repense a ma mère m'apprenant à jouer.

Je m'avance vers celui ci, mes doigts effleurent les touches. Cette sensation m'a manqué. J'appuie sur quelques touches pour former le début d'une chanson.

Carter: Il te plaît ?

Je sursaute au son de sa voix. Alors c'est lui.

Il mio salvatoreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant