DÉDICACES ET REMERCIEMENTS

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  Stephen King a dit un jour que l'on ne peut écrire un livre tout seul. Et je crois qu'il avait parfaitement raison. Il me serait impossible d'achever ce livre sans gratifier une ribambelle de personnes, qui n'auront peut-être pas écrit de leurs mains cette œuvre, mais auront contribué de bien des manières à son existence.

  Parce que : ✨«Un(e) écrivain(e) n'est que la personne qui manipule des mots pour en faire des paragraphes. Les idées et les émotions transmises dans le fond s'inspirent très souvent des autres.»✨

  Je remercie et dédicace ce livre aux personnes qui suivent :

— Le bon Dieu de m'avoir permise de réaliser ce projet et de le mener jusqu'à terme, bien que ça n'ait pas du tout été facile.

— La femme qui m'aura dit un soir de septembre :« Si personne ne l'a déjà écrit, c'est à toi de le faire ! Peu importe ce que tu écriras, ce sera très bien», alors que je m'étonnais du fait qu'aucun film ou récit de fiction camerounais ne porte sur la catastrophe du Lac Nyos.
  Je dédicace les nouvelles Une Odeur d'Œuf Pourri et Trop Tard à celle que j'appelle affectueusement “Tata Laure”, une amie à ma mère que je considère aujourd'hui comme bien plus que cela. Elle ne m'a pas seulement encouragé à écrire sur Nyos, mais m'a également parlé de l'incendie de Nsam, sur lequel porte la seconde nouvelle de ce recueil. Merci tata Laure car ta contribution à l'écriture de ce recueil est bien plus importante que tu ne pourrais même l'imaginer.

— Mes parents (Odile_Kamaha) et mes sœurs Iannetha et Fiona (fiona8mi) que j'aime profondément, même si je ne le plus dis assez. En écrivant ces nouvelles, j'ai compris plus que jamais à quel point la vie est courte, à quel point elle est fragile. Et je me suis surtout rendue compte à quel point votre présence dans ma vie est importante. Je compte en profiter aussi longtemps qu'il me le sera permis.

— Mon oncle (Njames_07)  pour ses commentaires si motivants.  À toi mon tonton “La main sur le coeur”, je dédicace la nouvelle 55 Secondes basée sur le crash d'avion de Mbanga-Pongo. Merci tonton pour ton investissement dans la passion encore si fougueuse de ta nièce.

— Ma tante (YolandeKouemani) et ses fils, mes cousins (noucharles) pour toute l'attention portée à mes écrits et à ma passion.

— Mon meilleur ami Nathan Joseph pour ses réponses vives et réfléchies qui m'auront aidé à l'écriture des nouvelles Une Odeur d'Œuf Pourri et Deux Fois Rien. Merci BFF !
   Je remercie aussi mes amies Daniella(Seinidaniella), Camila, Alvine et Maëva pour leur soutien et leur enthousiasme dans cette passion si particulière que j'ai choisie. Je vous promets d'offrir un jour à chacune de vous mes manuscrits. Merci d'exister les filles !

— Toutes les personnes qui auront lu, voté, commenté et partagé ce recueil. Je remercie toutes les personnes qui ne cessent de m'encourager et de me motiver, et dont je ne pourrais citer les noms un par un ici, tant la liste est longue. Plus que ce que vous ne croyez, vous constituez tous autant que vous êtes, ma force durant les heures sombres que me fait parfois vivre le syndrome de la page blanche. Merci de faire de moi chaque jour celle que je suis : «Lorena, la fille qui écrit des histoires sur Wattpad»

— La dernière dédicace est la plus importante à mes yeux. C'est celle dont je veux que vous lecteurs et lectrices, vous souveniez au delà de tout ce que j'aurais pu écrire plus haut. L'ultime dédicace revient à chacune des victimes des tragédies dont je me suis inspirée, ainsi qu'à leurs familles.
    À vous chères victimes, j'aimerai pouvoir dire merci, mais merci pourquoi ? Merci d'être morts ? Merci d'avoir quitté cette Terre de façon suffisamment tragique pour que cela fasse l'objet d'un de mes livres ? Chaque jour, je souhaite ne plus jamais avoir à écrire des histoires comme celles-ci, mais c'est impossible. Parce que chaque jour de nouvelles tragédies ont lieu. Et parfois, en écoutant les infos, je ressens au fond de moi le même petit pincement qui m'avait poussé à écrire une nouvelle sur Nyos.
    Ma mère m'a dit que je n'ai pas encore terminé ce recueil et que je ne le terminerais jamais. Parce qu'il y aura toujours de nouveaux désastres à raconter. Elle m'a dit que mon travail ne fait que commencer. Et c'est vrai en effet. Ce recueil n'est pas terminé, et je pourrais toujours le rouvrir un de ces jours, pour transcrire les cris d'autres victimes, d'autres blessés de l'histoire.
  Merci à vous chers défunts, chères défuntes, hommes, femmes, enfants, de m'avoir autorisé à raconter autrement vos destins troublants, à ceux qui les ont connu, ceux qui les avaient peut-être oublié, et ceux qui n'en avaient jamais entendu parler. Amplement, vous méritez cet HOMMAGE qui je l'espère, vous atteindra où vous êtes. Mais atteindra peut-être aussi les générations du présent et du futur, qui devraient de temps à autre regarder dans le rétroviseur, pour ne plus commettre les mêmes erreurs.

    Mars 2023, Lorena K.❤️

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