☀︎︎𝑈𝑛 𝑀𝑎𝑑𝑟𝑖𝑔𝑎𝑙 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑟𝑎𝑝𝑠 𓆈? (Camilo x Reader)

14. 𝐆𝐫𝐚𝐧𝐝𝐢𝐫. 𑁍

Chers lecteurs, je suis désolée d'avoir prit autant de temps faute que je n'avais plus d'inspiration. (Ne me crachez pas dessus, svp)

Donc voici (enfin) le chapitre quatorze : Bonne lecture !
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Camilo: Tu me voies mieux maintenant ?

Ce fut si rapide que je n'ai même pas eu le temps de changer d'expression facial. Je n'eus le temps de faire la colère, ni la surprise, encore moins la tristesse. Alors que c'était « ERROR » dans ma tête, il me sourit. J'ai du mal à le reconnaître.

Est-ce vraiment lui ? Il a un peu changé en deux ans.

En effet, ses cheveux sont un peu plus longs, ses mains plus grandes et sa mâchoire plus sculptée. En résumé, sa petite bouille enfantine avait disparu. Heureusement qu'il restait ses petites tâches de rousseurs éparpillées sur ses jolies pommettes.

Camilo: Tu ne dis rien ?

T/p: Je...

Je n'ai pas les mots, par où commencer ?

T/p: Je... Je...

Camilo: T/p.
Me coupe t'il dans mon élan.

T/p: ...

Camilo: Tu m'as manqué.

Mon cœur bat à une vitesse fulgurante. Mais je suis extrêmement contrariée. La seule chose qu'il arrive à dire après ces longues années était« Tu m'as manqué».

Je serre la mâchoire face à son sourire angélique qui commençait sérieusement à m'agacer.

T/p: ...

Camilo m'interroge du regard tandis qu'il penche la tête.

T/p: ABRUTI !
M'irritais je en le poussant sans réfléchir.

Il bascule en arrière et tombe dans la piscine.

...

Qu'est ce que j'ai fais ?

Je me relève du transat et regarde Camilo sortir la tête de l'eau avec les cheveux devant les yeux.

Camilo: Hum... Tu peux m'expliquer ?

Je reste silencieuse un instant puis lui tourne le dos. Camilo s'empresse de sortir de l'eau.

Camilo: T/p ! Attends !

Je ne m'arrête plus de marcher vers la sortie de la terrasse.

Camilo: Mais tu vas où ? Restes !

Je tente de l'ignorer. Au fond de moi je me sentais bouillonner d'une colère naturellement légitime et pourtant quelque chose me serre la gorge, me brûle les yeux, me crispe douloureusement.

Camilo: T/P !
Dit-il en me saisissant le bras.

Il me force à lui faire face, lui révélant les larmes qui roulaient le long de mes joues. Je renifle et m'empresse de les essuyer. En me voyant dans cet état, il fut surpris puis m'observe d'un air désolé, le même air quand il faisait une bêtise.

J'hallucine de le voir debout, devant moi avec ses vêtements à moitié transparents et collés à sa peau mouillée. J'hallucine encore de ressentir le contact de sa main sur mon bras, de sentir son parfum doux et épicé à la fois.

T/p: Que tu peux être con !
Dis-je en frappant son torse tandis qu'il ne recule pas d'un centimètre.

Camilo: ...