Épilogue spécial Halloween

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Un an plus tard, le trente octobre...

Mattheo est ma moitié, bien plus que lorsque je l'ai accueilli chez moi, dans le monde Moldu. Je n'ai pas découvert grand-chose sur moi et mes origines. Je sais juste que lui et moi, c'est une étincelle.

– Tu viens, Matt ?

Je suis assise sur le canapé – ici, je ne travaille pas ; Mattheo a hérité de la richesse de son père et le Ministère le dédommage assez bien puisqu'il a tué ce dernier. Je passe mes journées avec Mattheo, à gratter sa tête ou à le caresser – mais pas son pelage.

Il m'a aussi présentée à ses amis : Drago, Astoria la femme de Drago, Blaise et sa femme, Crabbe, Goyle, Théodore et leur compagne. J'ai rencontré Narcissa, la mère de Drago qui aide beaucoup Mattheo ; elle est très gentille. Elle me fait penser à ma mère adoptive... Cet univers magique est incroyable et ce Manoir où nous vivons, pue l'amour, je vous le dis. Mattheo prend tellement soin de moi...

– J'arrive.

Il vient, s'assoit à côté de moi et me regarde.

– Tu veux qu'on regarde le film ou que je joue à te peloter ?

Je pouffe de rire et lance le film sur la télé que j'ai ramenée du monde Moldu – parce que rester sans télé, c'est compliqué. J'ai grandi en tant que Moldue et j'ai mes habitudes. Et, depuis peu, j'aime regarder des films dans ses bras – comme quand il était un chat. Le Ministère a donc accepté.

– Ferme ta chemise au moins. Ce ne sont pas mes instincts de chat que tu réveilles là, mais mes instincts d'homme.

Je souris et laisse sa chemise mi-longue, à demi ouverte, alors que je ne porte qu'un tanga blanc en dessous. Il peut donc apercevoir le haut de ma poitrine, mes jambes et mon pli de l'aine droit.

Il regarde la télé, mais je sais qu'il bout. Imaginez un chat, fixer sa proie au loin, pour attendre de lui sauter dessus. Imaginez que ce chat saute d'un coup, l'attrape et l'avale. Mattheo est ainsi. Il sait se servir de son atout et me manger parfaitement bien – aucun des petits copains Moldus que j'ai eu n'étaient aussi parfaits que Mattheo.

– Tu n'as pas chaud, Matt ?

– Hein ?

J'ouvre un peu plus ma chemise.

– Tu me cherches ?

– Disons que... l'antidote a besoin de trente millilitres de poison.

Il rigole et me saute dessus pour s'allonger sur moi.

– Matt...

Il finit de détacher ma chemise et dévore mon buste.

– Trente millilitres seulement ? demande-t-il.

– Cinquante ?

– C'est tout ?

– Soixante...

Il mordille mes tétons.

– Han Matt... Soixante-dix...

Il embrasse mon ventre.

– Quatre-vingt... Descends, ouais...

Il embrasse mon tanga et lèche sur les côtés, les plis de l'aine.

– Han... Quatre-vingt... Matt... dix...

Il enlève mon tanga.

– Cent...

Il remonte aussitôt, m'embrasse et baisse son jogging.

– Cent millilitres de poison dans l'antidote, Mademoiselle l'élue.

– Oui...

Il embrasse tendrement mes lèvres et il s'insère en moi qui suis mouillée.

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