Chapitre 4

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Beaucoup diront que c'est bien et que ça permet de se faire entendre mais comme on dit une chose en entraînement une autre. Pris par un excès d'ivresse je lâcha enfin la bombe.

_ tu m'attire énormément Liam

_ mais moi aussi Alison, mais c'est bien dommage que vous soyez déjà engagé quelque part avec un homme qui ne sait pas satisfaire vos besoins de femme.

_ et moi qui croyais avoir entendu que cela vous était complètement absurde. Dis je le sourire aux lèvres

_ c'est bien le cas, si jusqu'à présent je n'ai encore rien tenté c'est par respect pour vous et non pour votre ridicule mari

_ et si je n'avais pas envie de me faire respecter par toi, et si je voulais que vous tentiez quelque choses. Lui dis je en le regardant dans les yeux

La tension ne fesant que monter Liam me regardait dans les yeux avec un sourire noire et vainqueur comme s'il attendait que j'ouvre ma bouche. Après plusieurs minutes de regard intense, cela se faisait déjà gênant, mais sous l'emprise de l'alcool je ne détournait pas le regard. Et sans même m'en rendre compte je sentis les lèvres de Liam sur les miennes. Ces lèvres était froide, avec un léger goût mentholé, ce baisé était langoureux et très doux, tellement Doux que je pouvais le faire toute la soirée. Nos langues entremêlées ne fesant plus qu'une. Je n'avais plus peur, peur que Luc découvre quoi que ce soit, peur de le quitter, peur de reconstruire ma vie. Il me suffit juste d'un baisé pour réaliser que j'étais fatiguée de vivre sous le poids des menaces, des injures, de me faire martyriser comme un simple jouet. Puis tout d'un coup Liam rompit le baisé pour que nous puissions reprendre notre souffle.

_ suis moi!

_ quoi?

_ je t'ai demandé de me suivre. Me répète t'il en se levant

_ où allons nous?

_ fait moi un minimum confiance s'il te plaît Alison

_ très bien, je te suis

Et c'est à ce moment précis que j'ai sus que ma vie de femme naïve aller bien changé, et cela pour toujours. Mais je m'en foutais royalement des conséquences, pour une fois que je pouvais faire ce dont j'avais envie sans demander la permission à personne ou sans donner d'explication.
Arrivé à une porte, Liam s'arrêta et l'ouvrit. En entrant dans la pièces, je découvris une chambre, très luxueuse comparer au reste du bar. Celle - ci était peinte d'un noir assez apaisant avec un sol en marbre légèrement gris , cette dernière éclairée uniquement de deux veilleuses et une énorme baie vitrée nous permettant de voir la lune se reflétant dans toute la chambre.

J'étais tellement absorber par l'atmosphère de cette pièce que je n'entendis même pas Liam fermé la porte, pris par un vertige je me retournais pour sortir quand je vu Liam appuyé contre le mur de la chambre, les bras croisés. Ses yeux prennent possession des miens, je ne vois que lui, lui et lui seul, son regard était comme enivrant.
Ses yeux me regardaient comme s'il. Voulais me manger toute crue, il se mit à avancer et plus il avançait, plus ses yeux descendaient et inspectaient chaque partie de mon corps . Arriver à proximité de mon visage il remonta ses yeux lentement et s'arrêta sur mon décolleté. Après plusieurs secondes de visionnage, il remonta encore plus ses yeux qui repris contacte avec les miens, suite à se contacte mon corps tout entier se mit a frissonné. Il passa son pouce sur ma lèvre inférieure tant dis que de l'autre main il se mit à caresser ma joue, je sentis sa main quitter ma joue et longé le long de mes courbes, effleurant ma peau à plusieurs reprises me donnant la chaire de poule. Tout d'un coup il m'attrapa les hanches pour plus me rapprocher de lui et son autres mains puissante plongeant dans mes cheveux ne laissant que quelques centimètres de distances, il sourit lorsqu'il me vit m'accrocher comme s'il je voulais le protéger. Et la sans même que je ne puisse dire quoi que ce soit , nos lèvres se rencontrèrent un baisé langoureux, pas comme le précédent, non, bien mieux, celui ci était rempli d'envie, de désir charnel. Et comme par magie ma robe vola à l'autre bout de la pièce, je me retrouvais maintenant en sous-vêtements, puis d'un geste Sensuel il me poussa sur le lit, un sourire malicieux s'installa sur son visage lorsqu'il remarqua ma lingerie.
Il s'avança et se mit au dessus de moi, me regardant tel un prédateur près à sauter sur sa proie. Malgré l'air conditionné, j'avais l'impression d'air dans un fou entrain de cuir à feu vif et comme si cela ne suffisait pas mes joues devinrent rouge de plaisir, parce que oui je le désirais tout autant que lui me désirait, ces yeux le trahissaient. Il se mit à l'embrasser tel un fauve comme s'il ne l'avait jamais fait, prise d'envie je me mis à déboutonner sa chemise qui par la suite vola elle aussi à l'autre bout de la pièce rejoignant ma robe au sol, puis se mit à m'embrasser le cou, puis la clavicule et descendis jusqu'à la rencontre de mes seins et en mis un en bouche me fesant gémir de plaisir. Il s'y prenait comme un chef dans sa cuisine ne laissant aucun morceaux de viande or de sa vue, il s'arrêta un instant et me regarda dans les yeux je pu y lire une demande, c'était comme s'il me demandait la permission d'aller plus loin et je là lui donna d'un hochement de tête et il descendit vers mon intimité où il retira mon string d'un geste rapide et m'écarta les jambes. Sa tête entre mes cuisses et sa langue glissant en moi, lapant ma vulve. Il me léchais et je fondais longuement dans sa bouche, tout en retenant un gémissement par peur que quelqu'un ne nous entende.
J'écartais d'avantage encore mes jambes pour qu'il puisse s'enfoncer encore plus. Il m'embrassa aussi profondément que si mon sexe avait était ma bouche pour le répondre.

Il quitta mon sexe et remonta le long de mon corps pour m'embrasser, son torse dominant au dessus de moi je me laissais faire tel une novice. Je glissais alors mes mains sur son torse musclé dessinant chaque abdo, chaque imperfection, lorsqu'il senti mon contact chaud sur son torse Liam arrêta de m'embrasser et me fixa dans les yeux nos regards étaient comme électriser, comme aimanter. Continuant mes fouilles je descendis jusqu'à son pantalon frôlant de mes doigts son érection déjà bien durci par l'envie, je détacha alors la boucle de sa ceinture tout en le regardant comme jamais je n'avais regarder Luc depuis ses dernières années, je le regardais avec envie, envie qu'il me fasse sienne, qu'il m'envoie au septième ciel.

Frustré que mes gestes sont lent il s'impatienta et enleva son pantalon lui même, voyant sa frustration je me mis à rire.

_ tu riras moin quand je t'aurais enfoncer ma bite petit ange

Je déglutis difficilement suite à ses mots remarquant mon visage il esquissa un léger sourire. Et il me réambrassa de plus belle poursuivant ce que nous avons laisser en suspend, puis il me mit deux de ses doigts dans la bouche me demandant des les sucer ce que je fis mais je fus surprise lorsqu'il les enfoncèrent en moi me fesant lâcher un gémissement fier de son acte il sourit puis vint intensifier ses mouvements.

Ne pouvant plus supporter la décharge de ses doigts je m'accrocha à ces draps en soie bleu nuit tellement mes jambes tremblaient, je retins ma jouissance et ferma les yeux tellement fort pour qu'il ne le remarque pas

_ ne te retiens pas petit ange, jouis pour moi fait moi savoir comme mes doigts son si bien en toi

Et là se fut la phrase de trop je lâchais tout, un énorme gémissement se fut entendre dans toute la chambre et mes jambes ne s'arrêtaient de trembler et sans crier gard il enfonça son érection bien tendu en moi, me fesant planter mes ongles dans son dos.

_ Alison, fait pas ça stp...hum

_ Liam attend s'il te plaît. Se fut les seuls et derniers mots que je pus prononcer avant qu'il ne me fixe les bras au dessus de la tête retenant mes poignées d'une seule main temps dis que l'autre descendit vers la zone interdite et joue avec mon point sensible.

Je ne pus me débattre éternellement tellement ce rapport était plaisant que je jouis une nouvelle fois et cette fois si en criant son nom haut et fort m'enfichant que quelqu'un ne m'entends hurler de plaisir. je tenta une nouvelle fois de dégager mes poignées et je réussis haut la main et je serrais une nouvelle fois son dos tout en y plantant mes ongles une nouvelle fois, je l'entendis grogner puis il vint à son tour s'écroulant sur moi tel un ours épuisé. Nos souffle étaient saccadés et se suivaient parfaitement.

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