──── 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟕

2.1K 232 130
                                    















L  E    J  E  U    D  E
—     C    A    R    T    E    S     —

L  E    J  E  U    D  E—     C    A    R    T    E    S     —

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.














































             L’ENVIE D’ECLATER mon poing dans la mâchoire de Jäger n’a pas faibli et s’est même renforcée à la suite des révélations de Jean. Je n’ai plus revu Noor depuis hier, lorsqu’elle a eu ces propos à mon égard. Il faut dire aussi que je n’ai pas spécialement cherché à reprendre contact et ai même mis un point d’honneur à l’éviter.

             Je rentre après qu’elle se soit endormie et me lève avant qu’elle ne se réveille. Je passe la journée à la bibliothèque universitaire à avancer la plupart des dossiers, exposés et devoirs que je vais rendre en fin de semestre. Je suis ravie d’avoir déjà bouclé un plan de mémoire détaillé d’une dizaine de pages ainsi que cinq dissertations. Mais ma meilleure amie me manque.

             Je sais qu’elle s’en veut et que la période qu’elle vit est compliqué à gérer, qu’elle a besoin de soutien. Et je me fais le serment de lui venir en aide dès que je serais remise des propos qu’elle a tenu.

             En attendant, la vie continue. Et si le professeur Karim Hafeez nous a aujourd’hui convoqué dans sa salle de classe, je me doute que ce n’est pas pour rien. Surtout que par « nous », j’entends moi et l’abruti incompétent — en un seul ou trois mots — qui me servira de binôme pour ce semestre.

             L’envie de rugir me reprend en songeant à nouveau à sa remarque sur le fait que Noor soit ma meilleure amie mais que je ne sois pas la sienne.

— Je suis profondément désolé de vous avoir fait venir ici, commence le professeur, les pieds posés sur son bureau et ses mains jouant sur un rubicube.

             Il ne nous regarde même pas quand il parle. Je n’en suis pas bien surprise. Il a toujours été du genre je m’en foutiste. Cela plait à Noor, d’ailleurs. Même si cette dernière ne vient plus dans ses cours depuis un petit moment.

𝐋𝐄 𝐉𝐄𝐔 𝐃𝐄 𝐂𝐀𝐑𝐓𝐄𝐒 (eren x reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant