1 - the beginning of the promises

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- putain clémence merde. Jurais-je.

Elle se retourna et s'avança vers moi d'un pats confiant.

- y'a t'il un problème Adeline ? dit elle d'une voix ennuyé

- tu te fous de moi c'est ça ? M'énervais-je.

J'arrivais à voir dans son regard quelle n'avait aucune idée de se dont je voulais réellement parler.

- papa m'a promis de m'acheter un énorme cadeau aujourd'hui, et comme tu peux l'imaginer il n'y aura rien pour toi ! Dit-elle de façon malicieuse.

Son sourire niai et malicieux qui m'était personnellement destiné m'a agacé au plus au point.

- C'est ce que j'ai cru comprendre oui. Répondais-je.

Elle est encore jeune, nos parents l'aimeront toujours autant quand elle aura atteint la majorité ?

Personnellement je n'ai pas eu cette chance.

J'ai simplement abandonné cette discussion enfantine avec elle et j'ai fini par partir en direction de ma petite clio bleu, qui ne passais définitivement pas inaperçu.

Une fois rentré chez moi, je crois que...
Enfaite je ne crois rien.
Je me rappelle seulement d'avoir fumé un joint.
C'est tout.
Rien de plus.
Je me suis probablement endormie.
Ou évanoui.

J'ai perdu mon adorable chat assez récemment.
Mes parents ne me porte aucun amour parentale.
Je n'ai ni copain, ni réel amis.
Si !
Hormis un garçon.

- PUTAIN ADELINE TU FOUS QUOI !

cette vois roque ma rapidement ramené à la réalité.

- sérieux, on va être en retard t'abuse ! dit-il

- Woaw désolé Evan, j'étais perdu...

J'ai regardé l'écran d'accueil de mon téléphone pour y voir écrit "4 appels manqué de Evan"
Mais se n'était pas le plus important.
Il était 8h13.

- FAIS CHIER EVAN ON VA ETRE EN RETARD !

Il m'a prise par le poignet et m'a amené à la porte de sa voiture, il m'a ensuite conduite jusqu'à notre objectif principal.

J'avais pour bute aujourd'hui de prendre des photos de l'hôpital psychiatrique du nevada pour une sorte de reportage, Evan lui devait écrire et commenter toute les recherches et les infos concernant l'asile.

On y est arrivé avec 8 minutes de retard.

Le gérant nous a bien précisé qu'il ne Fallait pas s'approcher des chambres des détenus, apparemment il n'était même pas réellement sûr de nous faire visiter cette partie de l'asile.

Une fois rentré dans le hall, des cris horrifiants nous ont tout de suite glacé le sang.

À la minute ou ses cris se sont fais entendre le gérant nous a immédiatement précisé que nous n'aurions pas la chance de visiter l'endroit tant attendu.

- putain il on l'air trop con à gueuler comme ça !

- sérieux Evan un minimum de respect..

Sa réflexion était des plus stupide.
Mais nous avions fini par passer en travers de ses remarques exagérées.

La visite est finalement devenue assez calme, l'ambiance était pesante, aucun bruis, juste le silence.
Je crois que s'était tellement calme que si nous faisions attention au bruit très léger, alors nous pourrions entendre les ongles des patients grincer le long des murs gelé.

Plus nous avancions plus l'ambiance devenais glauque, le froid se faisais facilement sentir à travers nos couche épaisse de vêtements, et un léger malaise se fit facilement resentir.

Le gérant nous a finalement laissé en libre arbitre dans l'hôpital, tout en nous montrant les pièces et les endroits ou nous n'étions pas autorisés à entré.

Mais une salle a attiré mon attention.

Une porte avec une sorte de blindage.

Je n'ai pas essayé d'y pénétré même si l'idée avais déjà traversé mon esprit.

Une partie de moi étais déjà au courant de ce qu'il pouvait s'y trouver, je crois qu'au fond de moi je savais qu'il fallait que je fasse attention, au salle, au patient, à lui.

CaptivationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant