Daki x female reader | Découverte des plaisirs

𓄹🍙𝒄𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 𝒔𝒆𝒑𝒕

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??? : Je suis Kasai là servante de l'oiran Warabihime ! Dit elle en souriant.
Attend quoi ? Warabihime a une servante, est elle au courant que cette femme est..
un démon ?
Elle commence à déposer ces nombreux cartons par terre.
Moi : Oh euh, enchantée, je suis Furēbi Jikeru, une amie à Warabihime.
Elle tourne sa tête vers moi et dit d'un air étonné :
Kasai : Vous êtes amie avec elle ?
Moi : Hum, oui, on a déjà passé du temps ensemble à mon arrivée.
Kasai : Mmh..
Son sourire s'estompe, elle détourne son regard d'un air inquiet.
Kasai : Ma oiran n'est pas du genre sociable. Je te félicite d'avoir eu une réel discussion avec elle alors.
Moi : Oui je sais, les autres filles m'avaient prévenue qu'elle était différente.
Kasai : C'est vrai, Chiemi m'avais averti à mon arrivée, elle n'était pas certaine de me confier une telle tâche.
Moi : De quoi parle tu ?
Elle relève sa tête pour me regarder à nouveau.
Kasai : Plusieurs servantes de Warabihime ont été porté disparues plusieurs fois.
... Un silence pesant s'installe, c'est tellement embarrassant, j'aimerais ne pas être ici..
Moi : Sa ne t'inquiète pas ?
Elle lève la tête vers le haut et répliqua :
Kasai : Warabihime est tellement mystérieuse, elle m'intrigue, c'est mon but de me rapprocher d'elle.
Moi : C'est peut-être dangereux tu ne pense pas ?
Kasai : .. Pourquoi serait-elle dangereuse ?
J'avale soudainement ma salive, elle parais plus agressive sa fais peur. Elle na pas l'air d'être au courant pour Daki..
Moi : Hum... Tu devrais en parler à Mayu..
Kasai : Oh, tu parle de ces blessures aux bras.
Moi : Tu est au courant alors ?
Elle se remet à déballer les cartons.
Kasai : Oui, je ne connais pas encore tout le monde par cœur ici mais j'ai parler avec certaines oirans.
Moi : Hum d'accord je vois.
Mes yeux dérivent sur les boîtes colorés que Kasai déballe.
Moi : C'est quoi tout sa ?
Kasai : Oh ça ? Ce sont tout les présents que Warabihime a reçu cette semaine.
Moi : Des présents ?
Kasai : Oui plusieurs clients lui offrent des récompenses en guise de remerciement, comme des bijoux, des fleurs ou d'autres bricoles.
Moi : Laisse moi t'aider.
Kasai : Avec plaisir Fūrebi. Warabihime a tellement de succès qu'elle reçois plus de 20 cartons par semaines, j'ai tellement de travail à faire à cause d'elle comparer aux autres servantes.
Elle n'a pas l'air de porter Warabihime dans son cœur, comme ci une part de haine se dégageais d'elle quand elle parlais de l'oiran.
Moi : Cela fais combien de temps que tu est ici ?
Elle lève les yeux aux ciel et me dit :
Kasai : Mmmh environs 5 mois, je ne compte pas rester ici très longtemps de toute façon.
Moi : Pourquoi ne compte tu pas rester ?
Kasai : J'ai quelque chose d'important à faire ici.
Moi : Qu'est-ce que c'est ?
Kasai commence à me fixer et dit d'un air étonné :
Kasai : Tu est très curieuse toi non ?
Moi : Oh hum désolé ! Je ne veux pas paraître indiscrète ! Dit je en rougissant.
Kasai : Ahah ça va ne t'inquiète pas, ricana t'elle. Et toi alors, qu'est-ce que tu fais ici Fūrebi ?
Moi : Hum eh bien..
??? : Hé oh vous deux ? Vous trouvez que c'est le moment de se prélasser pendant que certaines travaillent ici ??
Kasai et moi sursautons. C'est Sango, elle porte un panier avec du linge dedans.
Moi : Pardonne moi Sango ! Dit je en m'inclinant, j'ai aider Kasai a ranger les cartons de Warabihime !
Un léger silence s'installa quand les regards de Sango et Kasai se croisent.
Sango : J'espère que vous avez finis, il y a du travail pour vous en bas, surtout pour toi Fūrebi.
Moi : D'accord je te suis, à plus tard Kasai !
Celle ci hochas la tête avec un léger sourire.
Sango et moi descendions les étages pour rejoindre le rez-de-chaussée, pendant le trajet je me permet de la questionner sur Warabihime et Kasai.
Moi : Dit Sango, tu connais bien Warabihime ?
Sango : ...
Moi : Hum, et Kasai ? Elle s'entendent bien toutes les deux ?
Sango : ...
C'est assez gênant, elle reste silencieuse devant moi, je ne peux analyser aucune émotions sans voir son visage. Peut-être que Kasai a raison, je suis un peu trop curieuse... Je baisse la tête le reste du trajet jusqu'à que je me tape légèrement contre son dos du au faites qu'elle se soit arrêtée d'un coup. Je relève la tête étonnée.
Moi : Sango ..?
Toujours dos à moi elle me répond :
Sango : Fūrebi tu devrais éviter de te rapproché de Warabihime.
Sa voix a changé, son ton m'a fais peur.
Moi : Pourquoi ça ?
Sango : ... Ce n'est qu'un avertissement, fais le si c'est de que tu veux.
Le mariage entre ces propos angoissant et le silence étouffant présent dans le couloirs ne me plais pas beaucoup, je ne répond pas et nous continuons à marcher tout les deux pour se retrouver devant une porte coulissante.
Je suis enfin face à face avec elle, l'ambiance s'apaise quand la voix de Sango parais moins aggressive.
Sango : Comme tu le sais la journée les clients ne sont pas nombreux alors des activités sont proposées pour les filles, c'est la salle de musique ici, tu y retrouvera Yori et d'autres oirans, n'hésite pas à tout tester pour te trouver un loisir.
Moi : D'accord merci beaucoup Sango.
Sango : Amuse toi bien, à plus tard Fūrebi.
Après ces mots, Sango me laissa seule devant une pièce inconnue. Je prend une grande inspiration et décide de faire glisser la porte coulissante.
Oh, waw, devant moi se dresse une multitude d'instruments traditionnels ainsi qu'une magnifique femme aux long cheveux noir portant une vaste robe bleu foncé, elle a les yeux fermés et fredonne un air tout en jouant de la harpe.

Cette mélodie.. Elle est tellement captivante... Je m'assieds sur le banc près de l'entrée tout en abaissant mes yeux, l'envoûtement de sa musique me fais légèrement transporter dans la nostalgie, je n'aime pas trop sa mais.. c'est tellement.. relaxant.. Attend.. Quelque chose ne vas pas...