6. Grand Frère a temps plein

207 16 0
                                    

Flash Back.

Courrant en dehors de la maison, je regarde plusieurs fois si maman n'était pas a mes trousse. Il semblerait que non car la rue est totalement vide et silencieuse.

Les larmes aux yeux que j'essaye tant bien que mal de les séchées, tandis que je recherche mon grand frère du haut de mes cinq ans.

Je venais de me faire sévèrement grondé pour un verre que j'ai fait tombé par terre, alors qu'elle m'a dit d'aller dans ma chambre, j'ai préféré partir de la maison.

Je hurle son nom dans la rue, la voix déchiré par le chagrin. Cela fis sortir quelque adulte par leur fenêtre tellement je criais. Mais aucun d'eux ne venus.

Ce n'est que vers un parc que Hajime m'entend et accourt en ma direction après avoir reconnus que celle qui pleurait a ne plus comprendre ces parole était moi.

Le petit garçon qu'il était avait dix ans.

Hajime : Akari... Mais..-Il dit confus. Mais qu'est ce que tu fait ici, maman t'avais interdit de sortir aujourd'hui.

Je tente de calmer mes sanglots.

Inupi : Qu'est ce qui ce passe?-Il arrive. C'est qui?-Il me regarde.

Hajime : Ma petite soeur. -Il dit embêté.

Inupi : Elle est venue ici toute seule ? -Dit-il surpris.

Hajime : Oui..-Il soupir. Aller Akari calme toi..-Il me prend dans ses bras.

Dans les bras de mon frère, entourant son cou de mes deux bras et son ventre de mes jambes, je bloti mon visage dans ses vêtement. Sentant sa main caressé mon dos, cela arrive a m'apaiser.

Il marche jusqu'àu premier banc du parc ou dessus il s'assoit.

Hajime : Je suis désolé Inupi...-Il baisse les yeux.

Inupi : Bah on peu quand même terminé la partie de carte non?

Hajime : Oui, je pense.

Il ce lève doucement et remarque que ma respiration est lente. Il essaye de regardé mon visage mais n'y arrive pas.

En s'asseyant par terre, il fait une demande a son amis qui ne c'était pas encore assis face a lui.

Hajime : Dit, tu ne voudrais pas me dire si elle s'est endormis ?-Il demande.

Il regarde rapidement en passant derrière son amis, et vois mon visage somnolent.

Inupi : Si elle dors pas, elle n'est pas loin.

Hajime : Elle est fatigué, je le sais, et la route plus ses pleure ont dû la fatigué encore plus.

Il soupir et remercie son amis.

Continuant leur partis de carte, Hajime me tiens contre lui, faisant en sorte que je ne tombe pas, j'aggripe son t-shirt même en dormant.

Inupi : On dirais qu'elle te prend pour son père. -Il joue.

Hajime : Je ne suis pas papa. -Il dit. Je suis son grand frère.

Papa était décédé depuis seulement quelque mois de surmenage au travaille. C'était dur pour tout le monde à la maison..

Inupi : Oui, enfin je voulais dire...

Hajime : J'ai compris, mais ne dit plus jamais ça.-il demande. Même si elle le sais, je lui dit tout le temps.

Inupi : Pourquoi ?-Il demande.

Hajime : Parce que je suis son frère.-il répète. Je ne pourrai jamais remplacer le rôle de papa.

Inupi : Je vois..

Hajime : Akari est toujours avec moi. Jamais avec maman. Juste moi..-Il baisse les yeux. La nuit elle fait que des cauchemars.

Inupi : Ça te gêne..? -Il demande inquiet.

Hajime : Non, mais je suis fatigué.. Concernant Akari, depuis que papa n'est plus là, je me sens un peu étouffé parfois, mais je suis son seul soutien.

Les deux garçon terminé leurs partis de carte, et il venus l'heure pour Inupi de rentrer chez lui.

Alors tout les deux, dans le bac a sable, je m'amuse à faire des pâtés qui ne tiennent pas. D'une petite voix j'apelle mon frère qui me regarde.

Akari : Dit moi Hajime... Pourquoi maman ne m'aime pas?..

Je remarque son air surpris. Ils réfléchis un moment.. puis ils arrive a me sourire.

Hajime : ... Sais-tu pourquoi j'ai voulu t'apeller Akari..?-Il dit tristement.

Akari : Non..?

Hajime : Akari signifie brillant ou lumineux. Je sais que tu deviendra la plus brillante de nous tous dans la famille.-Il m'enlace. Maman n'en as juste pas encore conscience. Laisse lui du temps d'accord..? Elle t'aime.

L'enfant que je suis accepté simplement et naïvement les parole de son grand frère. N'ayant que cela, et que lui, en qui je peut avoir confiance et croire.

Alors j'arrive a sourire seulement quelque seconde avant de savoir que maman allait me fâcher en rentrant, car elle m'avait interdit d'aller voir Hajime.

Hajime : Je te protégerait toute la vie.-Il murmure.

Il était simplement le pillier de toute ma vie.

Fin Flash Back.

J'avais donc terriblement bien manger dans ce restaurant gastronomique que Hajime a voulu essayer. Dérangé par le prix j'ai voulu le dissuader d'y aller, mais une fois cette idée en tête, plus question pour lui de reculer.

Ça faisait tellement du bien d'avoir le ventre plein après mon maigre repas de midi.

Je sais que mon frère gagne beaucoup d'argent grâce à son travail, et que tout ces vêtements sont de marque luxueuse française. J'aimerai bien savoir ce qu'il fait tout de même, mais il n'a jamais voulu me le dire.

Même si je ne demande rien, il me paye sans même que je sache de beaux vêtements que je retrouve un matin au hasard sur le canapé.

Je crois sincèrement qu'il est le plus riche de toute la famille. Je pense ne gagner que le quart de son salaire, mais c'est suffisant pour la vie que je mène, il n'a plus besoin de pensé autant a moi.

Je pense ne manquer de rien.

Un bras sur mes épaules, on rit tout les deux de son score au bowling.

Hajime : J'en reviens pas de voir à quel point je suis nul.. je me suis pas du tout amélioré.

Akari : Ça fait du bien de gagné un peu de temps en temps contre toi, habituellement, a d'autre jeux je perd tout le temps.

Hajime : Profite, avant ma revenche!

Je lui tire la langue un peu mauvaise joueuse sur mes partis de carte perdu.

Akari : Je dois juste m'entraîner !

Hajime : Malheureuse, il te faudrait des dizaines d'années pour gagné contre moi.

Akari : Quand je gagnerai, tu feras moins le malin! Wakaza et Yeri vont m'apprendre

Hajime : Tu parle.-il pouffe de rire. Bref, il est tard, on ferait bien de rentré.

Akari : Je ne suis pas fatigué, on peu regardé un film a la maison.

Hajime : Par pitié, pas de film a l'eau de rose.

Akari : Mais c'est les meilleurs!-Je rigole plaintive.

Hajime : Mais non!

Mon rire bruyant raisonne autour de nous alors que mon frère souris en me regardant.

~

A la maison on regardera donc mon film d'amour préféré, nous endormant l'un contre l'autre en plein milieu de celui-ci, un plaid sur les jambe, ma tête poser contre l'épaule de mon frère. Je ne fait plus de cauchemar.

Demain je sais en me réveillant qu'il sera répartis au travaille.


Pas De Deux - Izana KurokawaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant