66. Téléphone Visio

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De retour à l'hôtel, nous étions les premiers à rejoindre notre chambre le feu au corps.

Au pied du lit, nous nous déshabillons mutuellement sans lâcher nos lèvres, des gestes précipités, une respiration saccadée déjà tellement essoufflée par les escaliers que nous avions emprunté à défaut de ne pouvoir attendre l'ascenseur.

Nous avions décidé de rentrer sans les autres, histoire de profiter l'un de l'autre cette nuit encore.

Et nous voilà a maintenant assoiffé de l'autre a nous embrasser, tout les deux allongé sur le lit, presque nu.

L'air me manque dès qu'il embrasse le creux de mon cou avec précipitation mais très grande insistance.

Mon corps est déjà baigné dans les flammes tellement il réclame une proximité plus forte entre nous, rien ne semble suffisant.

Ses bras enveloppent mon corps, et je me sens tellement mieux dès que sa peau se retrouve contre la mienne, contre mes seins maintenant nu.

Mes mains parcourent toute la peau de son dos jusqu'à arriver à l'élastique de son boxer. J'arrive a plonger ma main a l'intérieur, en espaçant nos deux bassins, arrive à caressé dans difficulté son sexe déjà bien prêt pour la suite.

Il libère un souffle chaud qui me frappe sans attendre et me procure un intense frisson qui me fait gémir.

Je pense devenir réellement addict à cette chose qu'est le sex. Je me demande ce qu'en pense Izana. Actuellement, je pense que ça serait pour lui une véritable torture que de lui demander d'arrêter.

Je l'entend souffler, grogné de bien-être tandis que je le caresse en le regardant embrasser la peau de ma clavicule, jusqu'à venir lécher outrageusement la pointe de mes seins, l'un après l'autre pour ne rien laisser de côté.

Sa langue mouillée et si chaude, la sensation sur ce téton outrageusement abusé est un véritable délice qui fait réagir mon bas ventre dans un pétillement. Je sens que mon entre-jambe devient désireuse et pressée.

Terminant mes caresses, je prends son membre en main et doucement exécute de doux petit coup de poignet encore novice a cela. Mon cœur bat de nervosité n'etant pas encore très à l'aise à l'idée de touché de corps d'un homme, mais puisqu'il s'agit de mon homme, j'ai envie de le faire ce sentir bien.

J'y vais à mon rythme et je sais qu'il l'accepte, et à l'écoute de sa voix qui me fait comprendre que mon travail lui convient parfaitement, je ne me sens pas peu fière de l'effet que je lui donne.

Son visage ce baisse et grimace en regardant ma main, principal à cause de son agréable agonie.

Sa voix déraille de rauque a fébrile, une expiration perdue parmi son chant érotique, dans ça tête tout doit devenir complètement fou, son regard ce perd.

Je viens chercher moi même un baiser, le privant d'une respiration qui l'aide a ce contenir, il ne me refuse jamais et ferme les yeux, glissant nos deux langue mouillé l'une contre l'autre.

J'ai l'impression de beaucoup trop saliver et que l'excédent s'échappe de mes lèvres, mais nous n'en avons simplement rien a faire, j'écoute ces gémissements plaintifs jusqu'à qu'il retire lui-même ma main, lâchant tout contact.

Et dans la pénombre, j'arrive a voir ces deux iris brillante de luxure, a l'identique de pupille de chat qui ce remarque dans le noir. C'est jolie...

Quant à lui, il détaille mes courbes avec appétit, sa respiration reprise, il vient doucement embrasser le bas de ma poitrine, et trace une lignes invisibles avec ses lèvres jusqu'à mon entre-jambe que je sens réagir à l'arrivée du visage de mon homme.

Pas De Deux - Izana KurokawaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant