78. Vie Privé ou professionnel

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Deux semaine sont passées.

Lorsque je sors de chez moi, il n'est pas rare que je vois une personne du groupe de la rousse sur ma route, trainé proche de mon domicile. Elle n'a pas mentis, je suis vraiment surveillé et j'espère que ca ne sera qu'un temps.

J'ai hésité un long moment a appeler la police, mais honnêtement, je ne pense pas que ce soit une bonne idée, alors je laisse faire et je n'y fait plus vraiment attention, je ne fait rien qui puisse contrarié cette femme, alors tant que je continue comme ca, tout vas bien. je suspecte même qu'il me suis jusqu'à l'Opera..

Aujourd'hui il fait vraiment très chaud dehors, moi même j'ai actionné la clim pour être a l'aise. L'homme est posé contre la clôture en bois de la maison, il doit être littéralement en train de cuir, je le vois agité un bout de carton surement trouvé quelque part pour ce faire du vent. brassé de l'air chaud doit être vraiment agaçant, en plus, vu sa grande taille, le soleil doit tapé directement sur son crane semi rasé.

Cela fait bien deux heure qu'il est devant ma maison et la relève n'est pas pour tout de suite, j'ai plus ou moins compris leurs horaire. il y as trois homme diffèrent, un plus âgé le matin, lui même tout les après midi, et un autre plus ou moins du même âge en soirée, tous posté a un endroit différent, surement pour ne pas ce faire remarqué par mon frère des qu'il part ou rentre.

Et cela n'a alerté aucun voisin...

Il me fait de la peine vraiment.

Je me dit bien que c'est sa faute, après tout si il m'aurait laisser tous tranquille, lui ne serait pas la a cuir au soleil, toutefois, il n'a peut-être jamais demandé que les choses ce passe ainsi, ou ne c'est même jamais porté volontaire pour perdre ces journée a attendre devant la maison d'une inconnus.

Alors, je met des petite claquette, puis ouvre ma porte ressentant la chaleur intense qui me donne immédiatement envie de rentré chez moi.

Fermant la porte derrière moi, je m'avance doucement vers la personne, pensant surement que j'allais passer pour partir encore je ne sais ou, il reste de marbre a agité son bout de carton. Mais voila que ca ne se passe pas comme il le pensait.

Me posant a coté de lui, le voila a présent plus surpris, et me regarde, perplexe.

Akari : Il fait vraiment chaud aujourd'hui.-Je parle. Le soleil est haut dans le ciel, si tu reste planté ici, tu va attrapé une insolation et des coup de soleil très douloureux. En plus tu n'a pas d'eau avec toi. Tu devrais rentré chez toi.

il détourne le regard, tout chez lui indique qu'il ne bougera pas de sa place.

Je soupir, puis fait demi-tour pour rentré chez moi.

Dans ma cuisine, je prend dans dans le frigo une bouteille d'eau fraiche ainsi qu'une glacière avec un pain de glace que je pose a l'intérieur, j'y met la bouteille comme un morceau de quelque chose a manger qui traine dans le frigo mais encore bon, puis ferme la glacière pour retourné a la porte d'entrée.

La personne qui me surveille surpris ce retourne a nouveau, et agrandis son regard en me voyant arrivé avec une glacière. Je pose celle-ci a coté de lui, il reste silencieux mais très étonner.

Akari : Voila.-Je dis. S'il te plait, bois l'eau qu'il y as dedans, cette bouteille, je te la donne. Il y as aussi quelque chose a manger si tu as faim. Désolé, je ne peu rien faire pour le soleil, l'ombre est a l'arrière de la maison.

... : Tu est sérieuse?-Dit-il surpris.

Levant des yeux un peu confuse devant lui, je remarque que je suis obligé également de lever la tete tellement sa taille me dépasse. C'est certain, il est même plus grand que Hajime ou Wakaza.

Pas De Deux - Izana KurokawaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant